
LES BEAUMETTES - Vers le Chemin de la Virginière
« La configuration particulière du site de la Virginière, sa richesse naturelle et patrimoniale, les actions que le Parc du Luberon y mène, en font un magnifique terrain de découvertes. Depuis son acquisition publique, le Parc a souhaité associer les jeunes habitants de Goult ou d’ailleurs afin de partager avec eux les particularités et les expérimentations menées sur cet Espace Naturel Sensible. Et parfois leur confier une mission de sensibilisation en participant à la conception des panneaux d’information jalonnant le site ». Julien Briand, responsable mobilisation des publics & Education au Territoire au PNR Luberon.
Les 23 patrimoines à découvrir
Habitat troglodythe des Beaumettes - ©Daniel Grenouilleau Patrimoine et histoireTroglodytes des Beaumettes
Juste au-dessus du village, le site troglodyte des Beaumettes fait partie des plus célèbres sites du Vaucluse. Ces constructions sous abri représentent un véritable petit hameau s’alignant sur près de 130 m. Maisons, dépendances agricoles dont un pigeonnier, bassins et citernes sont construits autour d’un château et de la chapelle romane de Sainte-Foy. Il existe 3 types de troglodyte : la fermeture d’un orifice naturel, la construction sous abri (cas des Beaumettes) et l’adossement d’un volume construit à l’abri.
L'eau précieuse du Calavon - Coulon - ©Léa Samson - PNR Luberon Eaux et rivièresLe Calavon, renaissance d'une rivière
Jusqu’en 1992, le Calavon était présenté comme l'une des rivières les plus polluées de France, du fait principalement des rejets des industries agroalimentaires d'Apt. Depuis, grâce aux efforts conjoints de tous les usagers de l'eau qui se sont mobilisés pour une gestion cohérente et globale de la rivière, cette rivière "assassinée" est aujourd'hui ressuscitée. Son inscription en 2005 au réseau européen Natura 2000, identifiant des sites naturels importants pour la biodiversité, va dans ce sens.
Jussie en fleur - ©DR-M.T. Ziano FloreLa Jussie, une peste végétale
Les espèces exotiques introduites dans un écosystème, parfois involontairement, représentent la 3ème cause de perte de la biodiversité. Le Calavon est ici concerné par la Jussie, plante aquatique d’Amérique du sud. Elle s’est répandue en Europe au XIXe s. via les bassins d’agrément où elle était utilisée comme espèce ornementale pour sa floraison jaune. Très envahissante, elle entrave la circulation de la faune aquatique, élimine les herbiers, et peut provoquer une asphyxie du milieu.
Erosion des berges - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Eaux et rivièresUne rivière dynamique
La rivière, milieu dynamique, évolue dans le temps et dans l’espace. Elle cherche constamment à dissiper son énergie en érodant ses berges et en déposant les matériaux là où le courant est faible. Cette bande active crée des habitats variés pour de nombreuses espèces. Depuis 1944, sa surface s'est réduite en moyenne de 40% sur le Calavon en raison des anciennes activités d’extraction de granulats. Son lit s'est ainsi enfoncé de 2 m, localement 4 m, laissant apparaitre parfois la roche mère.
Guêpier d'Europe - ©Amandine Marie - PNR Luberon FauneLe chasseur d’Afrique
Espèce migratrice d’Afrique, le Guêpier d’Europe (Merops apiaster) se reproduit dans le Luberon de mai à septembre. Oiseaux très colorés, il chasse à l’affut en se posant souvent en groupe sur les lignes électriques. Il capture des insectes dont une majorité d’Hyménoptères (abeilles, guêpes) mais aussi libellules, cigales, papillons. Un individu peut consommer jusqu'à 250 abeilles par jour ! Le Guêpier niche ici en colonie dans les berges du Calavon où il trouve les conditions propices pour creuser un terrier.
Signalement de la conduite de gaz - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Savoir-faireY a de l’eau dans le gaz !
Le long de ce chemin vous avez pu constater la présence de bornes jaunes, parfois surmontées d’un « chapeau » qui pourrait faire penser à des nichoirs d’alimentation pour les oiseaux. Il n’en est rien ! Il s’agit de la matérialisation, notamment pour les contrôles aériens, du passage de la conduite principale de gaz qui alimente la vallée d’Apt. Mais sur ce site, GRT GAZ contribue à la préservation des milieux naturels du Calavon en soutenant le Parc du Luberon dans les acquisitions foncières des parcelles riveraines au cours d'eau.
Inondations à Cavaillon en 1994 - ©Gilles Brière - PNR Luberon Eaux et rivièresLes lits de la rivière
Le chenal dans lequel s’écoule une rivière est appelé lit. Le débit (quantité d’eau qui passe en un point à un moment donné) y varie au cours de l’année. Le lit mineur est là où s’écoule l’eau en tant normal. Le lit moyen correspond aux crues non débordantes contenues par les plus hautes berges. Le lit majeur est l’espace occupé au delà par les plus grandes crues. Préserver ces lits est indispensable au ralentissement des eaux pour la protection contre les inondations des zones urbanisées.
Pylône RTE - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Savoir-faireQuand électricité rime avec biodiversité
Ici la ligne électrique très haute tension Apt - Cavailon traverse les milieux naturels remarquables du Calavon. La gestion et l’entretien de la végétation sous et aux abords des ouvrages électriques constituent pour l’entreprise Réseau Transport Electrique un enjeu technique et environnemental majeur. C’est pourquoi, le Parc du Luberon et RTE unissent leurs efforts pour sauvegarder et restaurer ce site, en vue de concilier la sureté du réseau électrique et la préservation de la biodiversité.
Verrou de Lumières - ©Eric Garnier - PNR Luberon GéologieLe verrou de Lumières
D’ici, vous surplombez le fond de vallée du Calavon dominé par la présence de milieux naturels (forêt alluviale et bancs de galets) que la rivière façonne au gré des crues. À ce niveau du hameau de Lumières, la plaine est très marquée par le resserrement du relief qui crée un effet de verrou. Les versants sont constitués d’une roche calcaire sableuse d’origine marine : la molasse. Elle s’est formée il y a 20 millions d’années lors de la remontée de la Méditerranée dans toute la vallée du Rhône.
Visite accompagnée du site - ©Stéphane Legal - PNR Luberon Savoir-faireENS késako ?
La Virginière à Goult qui sétale rive gauche du Calavon - Coulon sur environ 17 ha, labélisé espace naturel sensible (ENS) par le Département de Vaucluse, est un site remarquable au niveau écologique. Parmi les dernières zones d’expansion naturelle de la rivière, c'est aussi un terrain d’expérimentation et de suivi scientifique de la biodiversité d’une zone humide. Les ENS sont dotés d'un plan de gestion qui précise les objectifs d'aménagement, d'entretien, de gestion et d'ouverture au public du site, ainsi que le programme d'actions pour les atteindre. Ceci avec la double préoccupation de préserver le milieu naturel et le paysage et de permettre sa découverte par le public.
Ripisylve - ©PNR Luberon Eaux et rivièresRipisylve, un concentré de vie !
Sur la rive opposée se développe une vaste ripisylve. Ce mot d’origine latine vient de « ripa », signifiant rive, et de « sylva », forêt. Cette végétation des milieux humides est caractérisée par la présence d’arbres aux bois tendre, comme les saules et les peupliers dont le Castor est très friand. Elle est indispensable au bon fonctionnement des rivières par son rôle d’ombrage, d’épuration, de protection des sols, ainsi que de refuge et de ressource alimentaire pour de nombreuses espèces.
Martin pêcheur - ©Fabrice Teurquety FauneQuatre vingt !
C’est le nombre d’espèce d’oiseaux recensé sur ce site grâce à un suivi réalisé chaque printemps. Parmi celles-ci, 40 sont nicheuses. La plupart sont caractéristiques de la ripisylve de la rivière et de ses berges : Martin pêcheur, Loriot d’europe, Héron cendré... Ce dernier est facilement reconnaissable par sa grande taille, son plumage gris, son vol lent et puissant et son cou replié en « S ». Ces populations d’oiseaux sont très sensibles à toutes perturbations des lieux, alors chut !
Fouilles archéologiques de La Virginière - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Patrimoine et histoirePrécieuses fouilles archéologiques
L’excavation située en contrebas correspond à l’emplacement originel du dolmen néolithique reconstitué 500 m en amont à l’abri des crues du Calavon. Celle de 1994 l’avait mis à jour par érosion des berges qui ont reculées ici de 40 m sur une distance de 150 m. Implanté côté Ubac, ce monument funéraire de 3 000 av. J.C renfermait une cinquantaine d’individus de tous âges et sexe, inhumés en position contractés, les membres inférieurs repliés et ramenés près du tronc.
Guêpier d'Europe - ©Robert Caracchioli FauneLe chasseur d'Afrique
Le guêpier d’Europe ou « chasseur d’Afrique » est un oiseau très coloré qui creuse son nid dans les ocres ou sur les berges sableuses du Calavon-Coulon. Très présent dans le Luberon, il nous quitte en septembre pour l’Afrique et ne revient qu’au mois d’avril pour la nidification. Cette migration est risquée, puisque 30 % d’entre eux ne reviendront pas, mais c’est l’occasion pour les jeunes nés de s’accoupler avant de creuser, à leur tour, un nid dans le Luberon.
Dolmen après restauration - ©Pierre Prouillac - PNR Luberon Patrimoine et histoireLe dolmen néolithique
Au pied de la butte, se trouve la reconstitution du dolmen découvert 500 m plus en aval lors de la crue de 1994. Le monument originel tombé dans l’oubli, fût recouvert de limons pendant des siècles et ainsi préservé. Puis, après 2014, trop exposé aux crues successives, il a été en 2013 – 2014, entièrement déplacé, pierres par pierres, après numérotation et démontage soigneux. Cet édifice est le second du genre dans le Vaucluse après celui de Ménerbes, et l’un des rares en Provence.
Barrage du Castor d'Europe - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon FauneLe bucheron des rivières
Ses mœurs nocturnes font du Castor d'Europe ou Castor d'Eurasie (Castor fiber) un hôte discret des rivières que seules trahissent les marques de son activité de bûcheron. Reconnaissable à sa forme trapue et sa queue plate, il est végétarien et se nourrit notamment de saule et de peuplier. Construisant des barrages en période de sécheresse, il est très utile dans la préservation des zones humides. Avec ses 30 kg, il est le plus gros rongeur d’europe. Protégé depuis 1968, il a recolonisé le Calavon où une centaine d’individus sont recensés.
Calavon ou Coulon ? - ©DR-Robert Caracchioli Eaux et rivièresCalavon ou Coulon ?
Le Calavon porte aussi le nom de Coulon à l'aval d'Apt. La limite géographique d’usage du nom Coulon est fixée ici sur la commune de Goult où arrive, entre le pont de Lumières en amont et le pont de la véloroute en aval (anciennement voie ferrée), l’un de ses affluents : l’Imergue. Orthographié « Limergue » jusqu’au début du XXe s., il est dérivé du mot latin « Limés » qui signifie la limite. Ce cours d’eau était considéré, de la fin de l’Antiquité jusqu’au Moyen-Âge, comme une frontière entre les deux zones d’influence linguistique et le Contat Venaissin.
L'eau est d'or - ©Hervé Vincent Eaux et rivièresAqui l’aigo es d’or !
Le Calavon connait fréquemment des épisodes de sécheresse. Outre le climat sec, 45% de son bassin versant ne contribue pas aux écoulements de la rivière. L'eau s'infiltre dans le Karst (calcaire perméable) et ressort à la Fontaine de Vaucluse. À cette eau perdue s'ajoute les prélèvements à usage domestique, agricole ou industriel. Par ses suivis réguliers des débits, le Parc du Luberon participe aux décisions préfectotales de restriction de prélèvements. Economisons l'eau, chaque goutte compte !
Bassie à fleurs laineuses - ©David Tatin FloreBassie à fleurs laineuses
Les terrasses alluviales bordant le Calavon sont colonisées par des plantes herbacées dont la rarissime et protégée Bassie à fleurs laineuses. Cette espèce steppique des zones sableuses semble se maintenir en France uniquement dans le Vaucluse, et plus particulièrement sur le Calavon, entre Apt et Robion (15 sites connus sur les 19 de l’hexagone). Ici, en contre bas de ce chemin, un programme de confortement et de suivi de ses populations est mis en oeuvre sur des terrains du Parc du Luberon.
Pélobate cultripède - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon FauneQuand les crapauds auront des couteaux…
C’est déjà le cas ! Avec le Pelobate cultripède (Pelobates cultripes), de son petit nom le Crapaud à couteaux, qui a un chant caractéristique de poule. Avec ses ergots de coq sur ses pattes arrières, il s'enfouit dans le sable jusqu'à ce qu'il pleuve ! Espèce rare et vulnérable en France, considérée comme quasi-menacée au niveau mondial, le Parc du Luberon a restauré des mares de reproduction pour l’espèce dans la roselière située en contre bas.
Ancienne gare de Goult-Lumières - ©Daniel Grenouilleau Patrimoine et histoireLa gare de Lumières
Cette gare, aujourd’hui logement communal, est le témoin de la ligne de chemin de fer reliant Cavaillon à Volx construite sous le Second Empire. Longue de 78 km, il ne fallait pas moins de 3h30 pour relier les deux terminus. Au cours du XXe s., les sections ont fermé une à une. La section Cavaillon-Apt, passant donc par cette gare, a elle cessé son activité en 1989. Lieu de pèlerinage, la gare de Lumières a vu débarquer de nombreux pèlerins pendant ses années d’activité.
Couloir de liberté - ©Gilles Brière - PNR Luberon Eaux et rivièresL’espace de liberté de la rivière
Dans la plaine alluviale, à la faveur des crues, le Calavon peut changer son lit de place à l'intérieur d'un "couloir" appelé espace de liberté. Ces divagations par érosion des sols permettent de ralentir les eaux et sont sources de diversité de l’écosystème. Trop souvent, l’homme a rendu impossible cette mobilité latérale en corsetant la rivière avec des enrochements ou des digues. Préserver, et même restaurer, cet espace contribue au bon état des eaux et à la protection contre les inondations.
Zone humide du Calavon - ©David Tatin Eaux et rivièresZone humide, zone utile : agissons !
Les milieux humides du Luberon sont rares et représentés essentiellement par les rivières qui constituent des oasis de biodiversité. En France, la moitié des zones humides ont disparu au cours du XXe s. Pourtant, elles offrent de nombreux services gratuits : stockage d’eau, épuration, protection contre l’érosion des sols, ralentissement des crues. Elles occupent également une place importante dans l’économie locale et l’attractivité du territoire (agriculture, loisirs,…). Protégeons-les !
Description
Du cœur du villages des Beaumettes, franchir le passage souterrain et atteindre le petit parking situé de l'autre côté de la D900.
1- Ne pas s'engager à gauche sur la véloroute (cheminement du retour), mais poursuivre tout droit sur la route de Ménerbes (D27). Dépasser le pont qui enjambe le Calavon- Coulon, puis continuer la route sur 270 m (GR®).
2- Au carrefour ''Soubeyras'', situé à l’angle de la première habitation, virer à gauche sur le chemin revêtu des Alafoux (GR®). 500 m plus loin, au carrefour ''Les Alafoux'', prendre à gauche le chemin en terre (GR®). 100 m plus loin quitter le chemin d’exploitation et s’engager sur un sentier en sous-bois et en bord de rives (balisage peu évident). Déboucher sur une piste et l’emprunter tout droit (GR®).
3- A hauteur d'un croisement de chemin, continuer tout droit (GR®), basculer de l’autre côté du méandre et poursuivre la piste sur 900 m.
4- Au carrefour ''Marican'' dissimulé sur le talus en amont de la piste, continuer tout droit (GR®). Franchir un virage à gauche et rejoindre en contrebas la route de Ménerbes (D218). L'emprunter sur 300 m (prudence !) et au bout de la ligne droite, filer tout droit (éolienne) et de suite à droite afin d'éviter le virage de la route. 30 m plus loin, virer à gauche sur le chemin de terre et rejoindre le dolmen (GR®).
5- Au dolmen, gravir la rampe à droite et déboucher sur la Véloroute (EV8). Tourner à gauche, franchir le pont sur le Calavon-Coulon et gagner l'ancienne garde de Goult-Lumières.
6- À hauteur de l'ancienne gare de Goult-Lumières, poursuivre tout droit la véloroute (EV8) en direction du village des Beaumettes.
1- Au petit parking, repasser à droite sous le passage souterrain et revenir sur la place de la Mairie.
Itinéraire du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).
- Départ : Place de la mairie, Les Beaumettes
- Arrivée : Place de la mairie, Les Beaumettes
- Communes traversées : Beaumettes, Ménerbes et Goult
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Entre les points 1 et 2, puis après le point 4 : prudence sur ces deux sections de route. Progresser sur le bord gauche de la chaussée (dans le sens de la marche), face aux véhicules, peut s'avérer préférable.
- Après le point 3 : ne pas s’avancer trop près des bords de rives en raison du risque d'affaissement.
- Entre les point 5 et 1 : prudence sur la Véloroute : nombreux sont les vélos, certains peuvent arriver vite dans votre dos.
- Entre les points 3 et 6, sur l'Espace naturel Sensible (ENS) de la Viginière, proche des rives du Calavon-Coulon :
- Je n'engendre pas de nuisances sonores pouvant avoir un impact significatif sur la faune et l’avifaune, car une bête effrayée peu abandonner son petit... J'évite la cueillette des plantes.
- Pour une faune sauvage sans stress, je tiens mon chien en laisse.
- Je suis attentif à bien ramener avec moi tous mes déchets éventuels.
- Le camping sauvage et le bivouac sur l'ENS de la Viginière sont interdits toute l’année.
- RISQUE INCENDIE. Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, quelle que soit la saison, c'est interdit ! Du 15 juin au 15 septembre, je me renseigne avant de partir sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers du Vaucluse - voir carte journalière risque incendie.
Lieux de renseignement
Maison du Parc naturel régional du Luberon
60, place Jean Jaurès, 84400 Apt
Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.
OTI Destination Luberon
Place François Tourel, 84300 Cavaillon
Horaires d’ouverture :
CAVAILLON
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au samedi et jours fériés : 9h -12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du lundi au vendredi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30. Samedi : 9h-12h30.
Fermé le dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
GORDES
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30.
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
LOURMARIN
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
Accès routiers et parkings
A 15 km à l'Est de Cavaillon par les D15 et D900.
Stationnement :
Signaler un problème ou une erreur
Vous avez repéré une erreur sur cette page ou constaté un problème lors de votre randonnée, signalez-les nous ici :