GOULT - Chemin de la Virginière
« J’aime cette intrusion étonnante dans les méandres du Calavon-Coulon, rivière hier "assassinée", aujourd'hui ressuscitée. Entre forêt alluviale et bancs de galets, vous aurez l’opportunité d’y croiser quelques-unes des 80 espèces d’oiseaux recensées, comme le Martin pêcheur, le Loriot d’Europe, le Héron cendré... Vous entreverrez également les traces tangibles de la présence de l’artisan du coin et plus gros rongeur d’Europe : le Castor ». Jérôme Brichard, chargé de mission zones humides et biodiversité aquatique au PNR Luberon.
Les 18 patrimoines à découvrir
Pélobate cultripède - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon FauneQuand les crapauds auront des couteaux…
C’est déjà le cas ! Avec le Pelobate cultripède (Pelobates cultripes), de son petit nom le Crapaud à couteaux, qui a un chant caractéristique de poule. Avec ses ergots de coq sur ses pattes arrières, il s'enfouit dans le sable jusqu'à ce qu'il pleuve ! Espèce rare et vulnérable en France, considérée comme quasi-menacée au niveau mondial, le Parc du Luberon a restauré des mares de reproduction pour l’espèce dans la roselière située en contre bas.
Bassie à fleurs laineuses - ©David Tatin FloreBassie à fleurs laineuses
Les terrasses alluviales bordant le Calavon sont colonisées par des plantes herbacées dont la rarissime et protégée Bassie à fleurs laineuses. Cette espèce steppique des zones sableuses semble se maintenir en France uniquement dans le Vaucluse, et plus particulièrement sur le Calavon, entre Apt et Robion (15 sites connus sur les 19 de l’hexagone). Ici, en contre bas de ce chemin, un programme de confortement et de suivi de ses populations est mis en oeuvre sur des terrains du Parc du Luberon.
L'eau est d'or - ©Hervé Vincent Eaux et rivièresAqui l’aigo es d’or !
Le Calavon connait fréquemment des épisodes de sécheresse. Outre le climat sec, 45% de son bassin versant ne contribue pas aux écoulements de la rivière. L'eau s'infiltre dans le Karst (calcaire perméable) et ressort à la Fontaine de Vaucluse. À cette eau perdue s'ajoute les prélèvements à usage domestique, agricole ou industriel. Par ses suivis réguliers des débits, le Parc du Luberon participe aux décisions préfectotales de restriction de prélèvements. Economisons l'eau, chaque goutte compte !
Calavon ou Coulon ? - ©DR-Robert Caracchioli Eaux et rivièresCalavon ou Coulon ?
Le Calavon porte aussi le nom de Coulon à l'aval d'Apt. La limite géographique d’usage du nom Coulon est fixée ici sur la commune de Goult où arrive, entre le pont de Lumières en amont et le pont de la véloroute en aval (anciennement voie ferrée), l’un de ses affluents : l’Imergue. Orthographié « Limergue » jusqu’au début du XXe s., il est dérivé du mot latin « Limés » qui signifie la limite. Ce cours d’eau était considéré, de la fin de l’Antiquité jusqu’au Moyen-Âge, comme une frontière entre les deux zones d’influence linguistique et le Contat Venaissin.
Barrage du Castor d'Europe - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon FauneLe bucheron des rivières
Ses mœurs nocturnes font du Castor d'Europe ou Castor d'Eurasie (Castor fiber) un hôte discret des rivières que seules trahissent les marques de son activité de bûcheron. Reconnaissable à sa forme trapue et sa queue plate, il est végétarien et se nourrit notamment de saule et de peuplier. Construisant des barrages en période de sécheresse, il est très utile dans la préservation des zones humides. Avec ses 30 kg, il est le plus gros rongeur d’europe. Protégé depuis 1968, il a recolonisé le Calavon où une centaine d’individus sont recensés.
Dolmen après restauration - ©Pierre Prouillac - PNR Luberon Patrimoine et histoireLe dolmen néolithique
Au pied de la butte, se trouve la reconstitution du dolmen découvert 500 m plus en aval lors de la crue de 1994. Le monument originel tombé dans l’oubli, fût recouvert de limons pendant des siècles et ainsi préservé. Puis, après 2014, trop exposé aux crues successives, il a été en 2013 – 2014, entièrement déplacé, pierres par pierres, après numérotation et démontage soigneux. Cet édifice est le second du genre dans le Vaucluse après celui de Ménerbes, et l’un des rares en Provence.
Guêpier d'Europe - ©Robert Caracchioli FauneLe chasseur d'Afrique
Le guêpier d’Europe ou « chasseur d’Afrique » est un oiseau très coloré qui creuse son nid dans les ocres ou sur les berges sableuses du Calavon-Coulon. Très présent dans le Luberon, il nous quitte en septembre pour l’Afrique et ne revient qu’au mois d’avril pour la nidification. Cette migration est risquée, puisque 30 % d’entre eux ne reviendront pas, mais c’est l’occasion pour les jeunes nés de s’accoupler avant de creuser, à leur tour, un nid dans le Luberon.
Fouilles archéologiques de La Virginière - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Patrimoine et histoirePrécieuses fouilles archéologiques
L’excavation située en contrebas correspond à l’emplacement originel du dolmen néolithique reconstitué 500 m en amont à l’abri des crues du Calavon. Celle de 1994 l’avait mis à jour par érosion des berges qui ont reculées ici de 40 m sur une distance de 150 m. Implanté côté Ubac, ce monument funéraire de 3 000 av. J.C renfermait une cinquantaine d’individus de tous âges et sexe, inhumés en position contractés, les membres inférieurs repliés et ramenés près du tronc.
Martin pêcheur - ©Fabrice Teurquety FauneQuatre vingt !
C’est le nombre d’espèce d’oiseaux recensé sur ce site grâce à un suivi réalisé chaque printemps. Parmi celles-ci, 40 sont nicheuses. La plupart sont caractéristiques de la ripisylve de la rivière et de ses berges : Martin pêcheur, Loriot d’europe, Héron cendré... Ce dernier est facilement reconnaissable par sa grande taille, son plumage gris, son vol lent et puissant et son cou replié en « S ». Ces populations d’oiseaux sont très sensibles à toutes perturbations des lieux, alors chut !
Ripisylve - ©PNR Luberon Eaux et rivièresRipisylve, un concentré de vie !
Sur la rive opposée se développe une vaste ripisylve. Ce mot d’origine latine vient de « ripa », signifiant rive, et de « sylva », forêt. Cette végétation des milieux humides est caractérisée par la présence d’arbres aux bois tendre, comme les saules et les peupliers dont le Castor est très friand. Elle est indispensable au bon fonctionnement des rivières par son rôle d’ombrage, d’épuration, de protection des sols, ainsi que de refuge et de ressource alimentaire pour de nombreuses espèces.
Visite accompagnée du site - ©Stéphane Legal - PNR Luberon Savoir-faireENS késako ?
La Virginière à Goult qui sétale rive gauche du Calavon - Coulon sur environ 17 ha, labélisé espace naturel sensible (ENS) par le Département de Vaucluse, est un site remarquable au niveau écologique. Parmi les dernières zones d’expansion naturelle de la rivière, c'est aussi un terrain d’expérimentation et de suivi scientifique de la biodiversité d’une zone humide. Les ENS sont dotés d'un plan de gestion qui précise les objectifs d'aménagement, d'entretien, de gestion et d'ouverture au public du site, ainsi que le programme d'actions pour les atteindre. Ceci avec la double préoccupation de préserver le milieu naturel et le paysage et de permettre sa découverte par le public.
Verrou de Lumières - ©Eric Garnier - PNR Luberon GéologieLe verrou de Lumières
D’ici, vous surplombez le fond de vallée du Calavon dominé par la présence de milieux naturels (forêt alluviale et bancs de galets) que la rivière façonne au gré des crues. À ce niveau du hameau de Lumières, la plaine est très marquée par le resserrement du relief qui crée un effet de verrou. Les versants sont constitués d’une roche calcaire sableuse d’origine marine : la molasse. Elle s’est formée il y a 20 millions d’années lors de la remontée de la Méditerranée dans toute la vallée du Rhône.
Pylône RTE - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Savoir-faireQuand électricité rime avec biodiversité
Ici la ligne électrique très haute tension Apt - Cavailon traverse les milieux naturels remarquables du Calavon. La gestion et l’entretien de la végétation sous et aux abords des ouvrages électriques constituent pour l’entreprise Réseau Transport Electrique un enjeu technique et environnemental majeur. C’est pourquoi, le Parc du Luberon et RTE unissent leurs efforts pour sauvegarder et restaurer ce site, en vue de concilier la sureté du réseau électrique et la préservation de la biodiversité.
Inondations à Cavaillon en 1994 - ©Gilles Brière - PNR Luberon Eaux et rivièresLes lits de la rivière
Le chenal dans lequel s’écoule une rivière est appelé lit. Le débit (quantité d’eau qui passe en un point à un moment donné) y varie au cours de l’année. Le lit mineur est là où s’écoule l’eau en tant normal. Le lit moyen correspond aux crues non débordantes contenues par les plus hautes berges. Le lit majeur est l’espace occupé au delà par les plus grandes crues. Préserver ces lits est indispensable au ralentissement des eaux pour la protection contre les inondations des zones urbanisées.
Pic épeiche - ©Fabrice Teurquety FaunePic épeiche, pic high-tech !
''Trrrrrrrrrr'' !!! Sonore et percutant, tel le percussionniste de la forêt, le Pic épeiche (Dendrocopos major) au magnifique plumage coloré de noir, blanc et rouge, ne possède pas de chant au sens strict. Mais il a le tambourinage facile ! Il choisit une branche ou un tronc sec faisant office de caisse de résonance qu'il frappe violemment du bec en séries accélérées et à une vitesse folle de 6 à 7 mouvement par seconde ! Le cerveau subit alors une décélération de 1000 G, soit 200 fois plus qu’un astronaute... C'est l'asymétrie de son bec et la structure spongieuse du crâne qui lui permettent d'absorber les chocs contre le bois. Ses tambourinements sonores qui résonnent loin dans le sous-bois, lui permettent de souligner son territoire, en particulier au printemps.
Forêt fermée à gauche et ouverte à droite - ©Eric Garnier - PNR Luberon FloreForêt fermée, ouverte ou milieu ouvert boisé ?
Les forêts sont définies par la présence d’arbres couvrant plus de 10 % de la surface totale. Au-dessus de 40 %, la forêt est dite fermée, tandis qu’entre 10 et 40 %, elle est désignée comme étant ouverte. Cette forêt correspond à des surfaces de transition entre la forêt fermée et les milieux ouverts garrigues boisées, landes, etc.) dans lesquelles les arbres pionniers colonisent l’espace et participent à l’extension de la forêt. Lorsque les arbres sont présents mais recouvrent moins de 10 % de la surface totale, les milieux sont alors qualifiés de garrigues boisées ou landes boisées.
Grand-duc d'Europe - ©David Allemand FloreLa forêt source de vie !
Sur le territoire du Parc du Luberon, la forêt occupe 87% de la surface des espaces naturels. Cet écosystème forestier abrite une vie diversifiée. Dans l’ambiance fraîche du sous-bois, à l’ombre du feuillage, le sol est riche en micro-organismes qui contribuent à sa fertilité. Les vieux arbres et le bois mort hébergent larves d’insectes, champignons, petits animaux (comme le lucane cerf-volant). Les oiseaux occupent tous les étages des buissons au sommet des grands arbres (Mésanges, Sittelle torchepot, Grand-duc d’Europe, Pic noir, Circaète Jean-le-blanc, etc.). Les reptiles (couleuvre), les mammifères (sangliers, chevreuils) et les chauves-souris (Barbastelle d’Europe) sont également très présents.
Reprise de feu - ©Eric Garnier - PNR Luberon FloreUne petite imprudence, grands dégâts...
Avec le changement climatique, l’évolution du risque lié aux feux de forêt est très préoccupante et devrait se traduire par une extension spatiale et temporelle du risque, ainsi que par une intensification de ce risque, notamment en Provence. Or la foudre est l’unique cause naturelle de départ de feu et ne concerne en moyenne que moins de 10 % des départs. Cela signifie que 9 feux sur 10 sont d’origine humaine, dont 50 % sont provoqués par imprudence : jets de mégots de cigarettes, barbecues, déversement de cendres de cheminées, feux d'artifices, travaux domestiques mais aussi agricoles et forestiers... Soyons vigilants, soyons responsables !
Description
De l'ancienne gare de Goult-Lumières, emprunter la Véloroute - EV8 en direction d'Apt. Franchir le pont qui enjambe le Calavon-Coulon et avancer encore 100 m.
1- Virer à droite, quitter la Véloroute et descendre une rampe (GR®). Au dolmen, poursuivre le chemin à gauche. Déboucher sur la route de Ménerbes - D218 (prudence !). Filer bien à droite sur le chemin en terre et 30 m plus loin (éolienne), virer à gauche (GR®). Revenir sur la D218 et l'emprunter sur 290 m (prudence !). Au bout de la ligne droite, quitter la route et continuer tout droit sur le Chemin de l'Ubac (GR®). Dépasser l'habitation et un peu plus haut, franchir un virage à droite.
2- Au carrefour ''Marican'' dissimulé sur le talus en amont de la piste, continuer à droite sur la piste. 1 km plus loin, gagner une épaule, poursuivre la piste, passer sous la ligne électrique et atteindre un carrefour de chemin évident (GR®).
3- Quitter le GR®, bifurquer à gauche et gravir le chemin en sous-bois (PR). Franchir un virage à gauche et poursuivre la montée dans la forêt. Atteindre une épaule (antenne), poursuivre la piste à droite, franchir une barrière en bois et continuer la piste sur 500 m (PR).
4- 20 m avant le carrefour ''Les Artèmes'' et la route de Ménerbes - D218, plonger à gauche sur le sentier (PR). A la première intersection de sentier, filer à droite, franchir un ressaut rocailleux (prudence !) et déboucher en contrebas sur le Chemin de l'Ubac.
2- De nouveau au carrefour ''Marican'', partir à droite (GR®) et revenir sur la route de Ménerbes - D218. L'emprunter de nouveau (prudence !) et au bout de la ligne droite, filer tout droit (éolienne) et de suite à droite afin d'éviter le virage de la route. 30 m plus loin, virer à gauche sur le chemin de terre et rejoindre le dolmen (GR®).
1- Gravir la rampe à droite et déboucher sur la Véloroute. Tourner à gauche, franchir de nouveau le pont sur le Calavon-Coulon et revenir ainsi à l'ancienne garde de Goult-Lumières, point de départ de la balade.
VARIANTE : possibilité de partir des Beaumettes (l'accès au parking en bord de véloroute est plus aisé), puis rejoindre l'ancienne gare de Goult-Lumières par la Véloroute (2 km de plus à l'aller et 2 km de plus au retour, mais c'est tout plat ou presque !).
Itinéraire du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).
- Départ : Ancienne gare de Goult-Lumières
- Arrivée : Ancienne gare de Goult-Lumières
- Communes traversées : Goult et Ménerbes
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Prudence sur la Véloroute : nombreux sont les vélos, certains peuvent arriver vite dans votre dos.
- Entre les points 1 et 2 : prudence à la circulation ! Progresser sur le bord gauche de la chaussée (dans le sens de la marche), face aux véhicules, peut s'avérer préférable.
- Après le point 2 : ne pas s’avancer trop près des bords de rives en raison du risque d'affaissement.
- Après le point 4 : sentier caillouteux, avec dans le bas, un court passage rocailleux !
- Je n'engendre pas de nuisances sonores pouvant avoir un impact significatif sur la faune et l’avifaune, car une bête effrayée peu abandonner son petit...
- J'évite la cueillette des plantes.
- Pour une faune sauvage sans stress, je tiens mon chien en laisse.
- Je suis attentif à bien ramener avec moi tous mes déchets éventuels.
- Le camping sauvage et le bivouac sur l'ENS de la Viginière sont interdits toute l’année.
- RISQUE INCENDIE. Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, quelle que soit la saison, c'est interdit ! Du 15 juin au 15 septembre, je me renseigne avant de partir sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers du Vaucluse - voir carte journalière risque incendie.
Lieux de renseignement
Maison du Parc naturel régional du Luberon
60, place Jean Jaurès, 84400 Apt
Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.
OTI Pays d’Apt Luberon
788 avenue Victor Hugo, 84400 Apt
Bureau d'Apt
788 Avenue Victor Hugo 84400 Apt
T. +33 (0)4 90 74 03 18
Ouvert toute l'année
Ouvert du lundi samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé dimanche et jours fériés (hors juillet et août)
Du 1er octobre au 31 mars : Fermé le mercredi, dimanche et jours fériés.
Bureau de Bonnieux
1 Rue Victor Hugo 84480 Bonnieux
T. + 33 (0)4 90 75 91 90
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h jusqu'au 30 septembre.
Fermé dimanche et jours fériés.
Bureau de Céreste
Boulevard Victor Hugo 04280 Céreste
T. +33 (0)4 92 79 09 84
Ouvert du 17 avril au 30 septembre du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche et jours fériés.
Bureau de Lacoste
La Cure - 36, place de l'Eglise 84480 Lacoste
T. +33 (0)4 90 06 11 36
Ouvert toute l'année
Du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 13h30 à 17h.
Le samedi de 9h à 11h30.
Fermé dimanche et jours fériés.
Bureau de Ménerbes
Avenue Marcellin Poncet 84560 Ménerbes
T. +33 (0)4 90 72 21 80
Ouvert toute l'année
Ouvert uniquement le matin de 9h à 12h du mardi au samedi jusqu'au 30 avril.
À partir du 2 mai du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h.
Le samedi de 9h à 12h.
Fermé dimanche, lundi et jours fériés.
Bureau de Roussillon
19 Place de la Poste 84220 Roussillon
T. +33 (0)4 90 05 60 25
Ouvert toute l'année
Du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé dimanche et jours fériés (Hors juillet et août)
Bureau de Saint-Saturnin-lès-Apt
Avenue Jean Geoffroy 84490 Saint-Saturnin-lès-Apt
T. +33 (0)4 90 05 85 10
Ouvert du 13 juin au 15 septembre du mardi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche, lundi et jours fériés.
Accès routiers et parkings
A 16 km à l'ouest d'Apt par la D900.
A 16 km à l'est de Cavaillon par les D15 et D900.
Stationnement :
Accès
- Numéro de secours :
- 114
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