AURIBEAU - Le Mourre Nègre, côté nord
Auribeau et Lure depuis les crêtes
Auribeau et Lure depuis les crêtes - ©Eric Garnier - PNR Luberon
Auribeau

AURIBEAU - Le Mourre Nègre, côté nord

Faune
Flore
Point de vue
Sommet
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Une classique, aussi sportive que bucolique ! Les dénivelés sont là, mais l’ascension est irréelle et les panoramas des crêtes puissants…

« Ne pas gravir le Mourre Nègre serait une lacune, m’a-t-on dit ! J’ai donc sans tarder relevé le défi. Le malin sentier sur le flanc nord escarpé du Grand Luberon révèle une série de vues magnifiques jusqu’aux Alpes. Sur la crête, rebelote côté sud : panorama sur le pays d’Aigues, la Durance et la Sainte-Victoire au loin. Au sommet encore, mes yeux pétillent sur les Alpilles, le Petit Luberon, le Ventoux… Quel enchantement ! ». Anne-Camille Vinson, stagiaire master 2 au réseau des Parcs naturels régionaux de Provence-Alpes-Côte-d'Azur.


Les 19 patrimoines à découvrir

  • Grand-duc d'Europe
    Grand-duc d'Europe - ©PNR Luberon
    Faune

    Grand-duc d'Europe

    Le Grand-duc d'Europe, aves ses 1,80 m d'envergure, est le géant de la famille des oiseaux de proie nocturnes. Aussi grand qu'un aigle, il est encore bien représenté sur le territoire du Parc naturel régional du Luberon (une soixantaine de couples). Il construit son aire dans des falaises escarpées, similaires à celles qui surplombent le sentier, où il se reproduit et élève ses jeunes de janvier à juin. Pour faire face à la disparition du lapin, il a adapté son alimentation pour se régaler de rongeurs, oiseaux, hérissons, reptiles, poissons...

  • Auribeau et le Mont-Ventoux au loin
    Auribeau et le Mont-Ventoux au loin - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Savoir-faire

    Auribeau, atlas de la biodiversité communale

    Niché dans un écrin de verdure, au pied des contreforts nord du Grand Luberon, Auribeau est un petit village authentiquement rural. Auribeau, tout comme Lauris, Puget-sur-Durance, Viens et Volx, sont les cinq premières communes du territoire qui, avec le Parc naturel régional du Luberon et ses partenaires, sont lauréats de l’appel à projets ''Atlas de la biodiversité communale'' lancé par l’Office français de la biodiversité en 2023. Un atlas de la biodiversité est une démarche qui permet à une collectivité de connaître, préserver et valoriser son patrimoine naturel avec la participation des habitants et acteurs locaux. Il recense des milieux et espèces présents sur un territoire donné et permet de cartographier les enjeux de biodiversité à l’échelle de ce territoire.

  • Chamois du Luberon
    Chamois du Luberon - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Faune

    Le chamois du Luberon

    Le chamois (Rupicabra rupicabra), a refait son apparition depuis les années 70 dans de rares zones rocheuses du Grand Luberon. La population est estimée à près d’une centaine sur le territoire du Parc naturel régional du Luberon ! Contrairement aux idées reçues, il n’a pas été introduit mais il reconquiert un espace redevenu favorable qui était autrefois le sien, il y a quelques siècles voire millénaires. Il n’est pas rare de voir, en hiver, des mâles en rut se poursuivre sur les falaises escarpées, comme celles situées en contrebas du sentier.

  • Castellet-en-Luberon et le plateau des Claparèdes
    Castellet-en-Luberon et le plateau des Claparèdes - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Point de vue

    Castellet-en-Luberon, village jardin de la terre

    Perché sur sa colline, Castellet-en-Luberon est bordé par le Calavon d'un côté et le Grand Luberon de l'autre. On y trouve des cultures de céréales et d'arbres fruitiers, notamment des cerises et raisins de table, mais aussi de la vigne pour une production de vins d’Appellation d’Origine Contrôlée Luberon. Vue d'ici, prairies, friches et pâturages évoluent au gré des saisons. Au printemps et au début de l'été, les plantes à parfum comme le lavandin ou la sauge sclarée éclatent au soleil. Ces paysages sont le fruit de cultures extensives, héritées du modèle agropastoral autrefois dominant, et aujourd’hui maintenues par des personnes qui se définissent plus volontiers comme paysans que comme agriculteurs.

  • Couvercle d'un ancien four à charbon
    Couvercle d'un ancien four à charbon - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Savoir-faire

    Four à charbon

    Historiquement, les charbonniers transforment le bois en charbon directement en forêt, au sol. Au cours du XIXe s., des enceintes métalliques de diverses formes apparaissent et remplacent les charbonnières traditionnelles, qui demandent un savoir-faire particulier. En plus d’être amovibles, ces fours permettent une carbonisation plus rapide, augmentant le rendement. En Luberon, il reste par endroits des cercles de terre noircie ainsi que des plaques de tôle rouillée, vestiges de cette activité.

  • Dendrotelme
    Dendrotelme - ©Pierre Frapa - PNR Luberon
    Flore

    Forêt ancienne et dendrotelmes

    Les coteaux voisins abritent une belle forêt ancienne, véritable réservoir de biodiversité. Les vieux arbres servent de support ou de garde-manger à tout un cortège d'espèces animales et végétales (lichens, insectes, etc.). On y trouve également des dendrotelmes (du grec "dendron" pour "arbre", et "telma" pour "mare") : ce sont de petites cavités naturelles, plus ou moins ouvertes, situées sur ou dans les arbres, susceptibles de se remplir d’eau de pluie. Elles sont indispensables à la vie, ou à une phase du cycle de vie, de certaines espèces animales, végétales ou fongiques inféodées à ces microhabitats. La conservation de cette forêt, située dans un massif concerné par des programmes de coupe, contribue à une gestion forestière durable et à la préservation de forêts matures à l’échelle du territoire du Parc naturel régional du Luberon.

  • Bondrée apivore
    Bondrée apivore - ©DR
    Faune

    La Bondrée apivore

    La Bondrée apivore est un rapace migrateur présent en été pour sa reproduction sur notre territoire. Elle se nourrit principalement d’hyménoptères (guêpes, bourdons, abeilles sauvages…) qu’elle chasse sur les terrains découverts à proximité de son lieu de nidification forestier. Elle peut creuser jusqu’à 40 cm pour déterrer ses mets favoris : les larves !
    Gare aux piqûres ! Pour s’en protéger, la peau autour de son bec et de ses yeux est recouverte de courtes plumes raides, semblables à des écailles.

  • Berger et son troupeau sur le Grand Luberon
    Berger et son troupeau sur le Grand Luberon - ©Hervé Vincent
    Elevage et pastoralisme

    Moutons et bergers, gardiens des crêtes

    De début juin à mi-juillet, vous verrez ici des moutons en pâture. Grâce à eux, la biodiversité exceptionnelle des crêtes se maintient. Sans pâturage, les pelouses se fermeraient peu à peu, et vous n’auriez plus la chance d’observer autant d’insectes, d’oiseaux ou de fleurs de printemps. Les moutons, en sélectionnant certaines plantes et en empêchant l’embroussaillement, favorisent la présence d’espèces rares. Les éleveurs sont soutenus dans leur travail par le Parc naturel régional du Luberon, l’Office national des forêts et les agents pastoraux.

  • Pelouses sommitales du Grand Luberon
    Pelouses sommitales du Grand Luberon - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Flore

    Pelouses sommitales multifonctions !

    La ligne de crêtes du Grand Luberon, massive et arrondie, s’étire sur 200 à 300 m de large. Elle est recouverte d’une végétation basse très particulière, rarissime, qui présente un grand intérêt à la fois écologique, paysager et esthétique. Ses couleurs varient au fil des saisons, et son panorama est spectaculaire. Ce véritable "petit alpage" à vocation pastorale joue aussi un rôle essentiel de pare-feu naturel, en protégeant les versants boisés du massif du Luberon.

  • Sommet du Mourre Nègre (1125 m)
    Sommet du Mourre Nègre (1125 m) - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Point de vue

    Mourre Nègre, sommet du Grand Luberon

    Le Mourre Nègre, "museau noir" en provençal, culmine à 1125 m et domine les massifs du Grand et du Petit Luberon. Au sommet se dévoile un splendide panorama à 360°. Côté nord, derrière le bassin d’Apt et les plateaux des Monts-de-Vaucluse, le Mont-Ventoux, la montagne de Lure et, en arrière-plan, les sommets enneigés du massif des Écrins se distinguent. Côté sud, au-delà de la plaine de la Durance, on peut observer la Sainte-Baume, la Sainte-Victoire, l’étang de Berre, la Camargue, les Alpilles…

  • Vue aérienne du Mourre Nègre
    Vue aérienne du Mourre Nègre - ©Stéphane Legal - PNR Luberon
    Géologie

    J'ai plusieurs millions d'années...

    Le Luberon ne s’est pas fait en un jour… loin de là ! Sa naissance est liée à celle des Pyrénées, il y a environ 40 millions d’années. C’est aussi le cas des massifs provençaux des Alpilles, de la Sainte-Victoire, de la Sainte-Baume, etc., tous orientés est-ouest. Avec la formation des Alpes, le Luberon a connu, depuis 20 millions d’années, plusieurs épisodes de déformation ayant conduit à sa structure actuelle : un vaste pli en voûte (anticlinal), dissymétrique et chevauchant vers le sud.

  • Une balise réfléchissante
    Une balise réfléchissante - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Faune

    Lignes électriques, menaces aériennes

    Les lignes à haute et moyenne tension créent un réel danger pour les oiseaux en raison des collisions et électrocutions. Pour les grands oiseaux planeurs (aigles, vautours, cigognes), ces infrastructures représentent l’une des principales causes de mortalité d’origine humaine. Des solutions existent : l’enfouissement des lignes, la pose de balises améliorant la visibilité des câbles, le renouvellement des pylônes les plus dangereux, la création de perchoirs sur ceux-ci ou leur meilleure isolation.

  • Nid de chenilles processionnaires
    Nid de chenilles processionnaires - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Faune

    Attention, chenilles urticantes !

    La chenille processionnaire du pin est la larve d’un papillon de nuit (Thaumetopoea pityocampa), dont la vie adulte ne dure que le temps de la reproduction ! Dangereuse pour l’Homme et certains animaux, elle l’est aussi pour la nature, car elle peut provoquer des dégâts forestiers conséquents. Grâce à leurs poils hérissés, ces chenilles sont facilement reconnaissables : elles se déplacent toujours les unes à la suite des autres, en file indienne.

  • Jas Brémond en fin d'été
    Jas Brémond en fin d'été - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Elevage et pastoralisme

    Jas Brémond, abri de berger

    En provençal, le jas désigne les grandes bergeries en pierre sèche (ou non) qui abritent bêtes et hommes. Le mot provient du latin "jacium", signifiant "gîte, lieu où l’on se couche". En ancien occitan, il a rapidement désigné le "parc où l’on faisait coucher les troupeaux de chèvres et de moutons dans les pâturages de montagne". Aujourd’hui, ce cabanon sert d’abri aux bergers lorsque leur troupeau est en alpage sur les crêtes du Luberon, en juin et juillet.

  • Sentier du Vallon de Roumi
    Sentier du Vallon de Roumi - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Savoir-faire

    Un sentier est fait pour être usé !

    Cet adage mérite d’être souligné : la fonction d’un sentier est bien de relier un lieu à un autre. Pour autant, ils font également partie de notre patrimoine… et du patrimoine vivant ! La section de sentier que vous foulez témoigne des pluies torrentielles qui aggravent l'érosion de l’assiette du cheminement. Au fil du temps, le passage défendu de quelques motos et l’absence d’entretien constant ont favorisé la création d'ornières, et une trace parallèle s’est créée par le simple usage des promeneurs.

  • Tour carré de Saint-Pierre
    Tour carré de Saint-Pierre - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Patrimoine et histoire

    Castrum de Saint-Pierre d’Auribeau

    Le site castral de Saint-Pierre d’Auribeau est implanté sur un piton rocheux. Ce castrum, attesté dès 1004, est dit inhabité en 1333. La topographie d’ensemble correspond à un éperon barré. À l’extrémité orientale sont conservés les éléments monumentaux, fortifications et église, tandis que vers l’ouest s’étendaient en éventail les habitats villageois, protégés semble-t-il par un fossé. De plan carré, la tour est conservée sur près de 8 m d’élévation. La moitié supérieure ainsi que la porte d’accès aménagée à l’étage ont été l’objet d’amples restaurations récentes.

  • Chapelle Saint-Pierre d'Auribeau
    Chapelle Saint-Pierre d'Auribeau - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Patrimoine et histoire

    Chapelle Saint-Pierre d'Auribeau

    La chapelle Saint-Pierre était autrefois l’église du village d’Auribeau, implantée sur le flanc de la butte, à proximité du village qui fut déserté au XIVe s. La nef, composée de deux travées, se termine par une abside en hémicycle couverte en cul-de-four. Le matériau utilisé est de belle qualité. La façade, le chœur et les chaînes d’angle sont en moyen appareil. Sur la façade, à droite de l’entrée principale, une inscription rappelle sa dédicace, le 30 mai : "III KL IVNII DED I/CACIO"… L’église Saint-Pierre d’Auribeau est mentionnée dès 1158 parmi les biens dont le pape Adrien IV confirmait la possession à l’évêque d’Apt. Entre la fortification et l’église, des fouilles archéologiques ont mis en lumière la présence d’un cimetière.

  • Clématite des haies
    Clématite des haies - ©Eric Garnier - PNR Luberon
    Flore

    La Clématite, une étonnante liane

    Dans le virage du sentier, de grandes lianes accrochées aux chênes donnent à cette chênaie un air de forêt primaire. Il s’agit de la Clématite des haies, ou Vigne blanche (Clematis vitalba). Comme son nom l’indique, cette renonculacée affectionne particulièrement les haies, mais elle pousse aussi dans les broussailles et les clairières fraîches. Parfois rampante, mais principalement grimpante, elle peut atteindre jusqu’à 15 m de long. Peu d’espèces animales la consomment, car sa sève fraîche provoque des ulcérations.

  • Calade de Saint-Pierre d'Auribeau
    Calade de Saint-Pierre d'Auribeau - ©Anne-Camille Vinson - PNR Luberon
    Savoir-faire

    Calades provençales

    Les calades sont ces chemins empierrés ou ces rues en pente pavées que l’on retrouve en Provence. La racine "cal" réfère à la pierre, et "cala" signifie "descendre" en provençal. Par extension, "calader" signifie "paver". Ce revêtement de sol est constitué de pierres posées de chant (sur la partie la plus étroite), principalement des galets du Rhône ou de la Durance. Certains chemins et rues étaient pavés pour faciliter la marche des Hommes et des animaux, mais également pour limiter l’érosion.


Description

Descendre à l'entrée du parking, et au carrefour ''Aire Lucien Peysson'', grimper à droite le chemin revêtu (PR). Dépasser une habitation et poursuivre la montée sur un chemin caillouteux.
1- Ne pas rater le 1er croisement de sentier (point 685) afin de virer à gauche (PR). Emprunter le joli sentier en balcon et franchir deux épaules par une succession de montées et descentes.
2- Dans le travers, au pied d'une courte descente raide, bien franchir le 3ème vallon et poursuivre le sentier à flanc à gauche (PR). Ne pas remonter à droite le sentier caillouteux et étroit du vallon des Trois Èves (sentier parcouru à la descente par les vététistes de la Grande Traversée de Vaucluse !).
3- Au carrefour "Marauvière", bifurquer à droite, franchir deux épingles et continuer l’ascension (PR). Atteindre un vague collet, poursuivre tout droit et continuer le chemin à flanc de coteau. Sortir de la forêt et déboucher sur la piste des crêtes. Virer à gauche et descendre 200 m.
4- À la "Basse de Cabrières", monter sur la bosse à droite (balisages PR et variante GRP® peu évidents sur les zone de pelouse sommitale !). Basculer au sommet de la butte, rejoindre la piste DFCI et l’emprunter en face pour atteindre le pied de la bosse sommitale.
5- À la citerne, gravir en face le sentier caillouteux qui grimpe sur le flanc nord de la butte et atteindre le Mourre Nègre (1125 m). Faire le tour du sommet (panorama) en laissant les antennes main droite. Passer sous la ligne électrique et partir nord-ouest sur le chemin à travers la pelouse sommitale (non balisé). Plonger dans le sous-bois et rejoindre la piste DFCI en contrebas.
6- À la piste, ne pas plonger en face dans le vallon de Font Jean-de-Martin (raide et caillouteux). Filer à gauche et prendre de suite à droite le chemin parallèle à la piste (PR). Monter légèrement, dépasser le petit cabanon du Jas de Brémond et 30 m en contrebas, au carrefour ''Jas de Brémond'', bifurquer à droite et basculer sur la face nord (PR). Commencer à descendre en suivant l’épaule, puis plonger à gauche dans le vallon de Roumi (PR). Couper trois fois la piste forestière (PR) et bien suivre le sentier très raviné à certains endroits (cairns). Retomber une 4ème fois sur la piste et poursuivre le sentier juste en face (PR). Déboucher une nouvelle fois sur la piste et s'avancer quelques mètres à gauche (PR).
7- Au carrefour de chemin (cairn), entre la piste qui file à gauche  et le PR qui descend à droite, grimper le petit sentier qui démarre pile en face entre les genêts (PR local balisé en vert). Franchir une section empierrée et déboucher au pied de la tour Saint-Pierre. Grimper quelques marches à droite jusqu'au sommet du site castral. Ensuite, redescendre les escaliers puis filer à droite pour rejoindre la chapelle Saint-Pierre à proximité. De là, faire demi-tour, revenir sur ses pas jusqu'au pied de la colline (point 7). De retour sur la piste (cairn), virer à gauche et descendre le sentier en sous-bois (PR). Franchir une section bien ravinée par les orages, passer trois virages et terminer par une longue section de chemin caladé. Au macadam, virer à droite pour rejoindre le parking.

Itinéraire du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).

  • Départ : Parking Lucien Peysson, Auribeau
  • Arrivée : Parking Lucien Peysson, Auribeau
  • Communes traversées : Auribeau, Castellet-en-Luberon et Cabrières-d'Aigues

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

  • Entre le parking et le point 2 : vigilance, section empruntée également par des VTT, mais dans le sens de la descente ! La Grande Traversée de Vaucluse passe par là.
  • Entre les points 4 et 5 : pelouses sensibles sur les crêtes, bien rester sur les chemins et sentiers.
  • En amont du point 7 : sentier très crevassé par les orages, attention aux chevilles  !
  • ZONE PASTORALE (de début juin à mi-juillet sur les crêtes, et toute l'année à proximité du village) : en présence de chiens de protection venus à ma rencontre, je ne les caresse pas ni ne les menace. Je m'arrête, puis j'attends patiemment la fin du ''contrôle'' avant de reprendre calmement mon chemin en contournant le plus possible le troupeau. De préférence, ne pas emmener son chien et, sinon, bien le tenir en laisse. Pour mémoire, consulter les bons réflexes à adopter face aux chiens de protection et regarder la vidéo sur les chiens des moutons sur le Parc naturel régional du Luberon.
  • RISQUE INCENDIE : Le feu est l’ennemi de la forêt… et du randonneur ! Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, d'autant que quelle que soit la saison, c'est interdit ! Et en période estivale, avant de partir en balade, je me renseigne sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers.

Lieux de renseignement

Maison du Parc naturel régional du Luberon

60, place Jean Jaurès, 84400 Apt

https://www.parcduluberon.fr/accueil@parcduluberon.fr+33 (0)4 90 04 42 00

Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.

En savoir plus

OTI Pays d’Apt Luberon

788 avenue Victor Hugo, 84400 Apt

http://www.luberon-apt.fr/oti@paysapt-luberon.fr+33 (0)4 90 74 03 18
L’espace d’accueil principal situé à APT est un lieu d’expériences et d’évènements ouvert à toutes et à tous : professionnels du tourisme, expositions diverses, rencontres, réunions, conférences de presse... Un véritable centre d’échanges ! Une borne pour recharger les vélos électriques BOSCH a été installée dans le bureau.

Bureau d'Apt
788 Avenue Victor Hugo 84400 Apt
T. +33 (0)4 90 74 03 18
Ouvert toute l'année 
Ouvert du lundi samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h. 
Fermé dimanche et jours fériés (hors juillet et août)
Du 1er octobre au 31 mars : Fermé le mercredi, dimanche et jours fériés.

Bureau de Bonnieux
1 Rue Victor Hugo 84480 Bonnieux
T. + 33 (0)4 90 75 91 90
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h jusqu'au 30 septembre.
Fermé dimanche et jours fériés.
 
Bureau de Céreste
Boulevard Victor Hugo 04280 Céreste
T. +33 (0)4 92 79 09 84
Ouvert du 17 avril au 30 septembre du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche et jours fériés.
 
Bureau de Lacoste
La Cure - 36, place de l'Eglise 84480 Lacoste
T. +33 (0)4 90 06 11 36
Ouvert toute l'année
Du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 13h30 à 17h. 
Le samedi de 9h à 11h30.
Fermé dimanche et jours fériés.
 
Bureau de Ménerbes
Avenue Marcellin Poncet 84560 Ménerbes
T. +33 (0)4 90 72 21 80 
Ouvert toute l'année
Ouvert uniquement le matin de 9h à 12h du mardi au samedi jusqu'au 30 avril.
À partir du 2 mai du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h. 
Le samedi de 9h à 12h.
Fermé dimanche, lundi et jours fériés.

Bureau de Roussillon
19 Place de la Poste 84220 Roussillon
T. +33 (0)4 90 05 60 25
Ouvert toute l'année
Du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé dimanche et jours fériés (Hors juillet et août)

Bureau de Saint-Saturnin-lès-Apt
Avenue Jean Geoffroy 84490 Saint-Saturnin-lès-Apt
T. +33 (0)4 90 05 85 10
Ouvert du 13 juin au 15 septembre du mardi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche, lundi et jours fériés.
En savoir plus

Accès routiers et parkings

À 9 km au sud-est d'Apt, par la D48.

Stationnement :

Parking Lucien Peysson (au pied du massif, côté sud du village, en tournant à droite après le cimetière), Auribeau

Accès

Rando avec âne
Numéro de secours :
114

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