
2. ANSOUIS - PERTUIS - Le Pays d'Aigues à vélo - jour 2
Cette seconde étape du tour du ''Pays d'Aigues à vélo'', qui relie Ansouis à Pertuis, est un peu plus mouvementée que la première ; les montées régulières et descentes élancées se succèdent. Vous passerez ainsi, en suivant aisément le balisage permanent, d’un hameau blotti à un village perché comme un phare. Vous profiterez de la beauté inoubliable des paysages, des places ombragées et des fontaines, et des prestataires touristiques marqués "Acceuil Vélo".
Les 27 patrimoines à découvrir
Lavoir d'Ansouis - ©Commune d'Ansouis Patrimoine et histoireLe lavoir d'Ansouis
Typique, avec deux bassins : l’un pour le lavage, l’autre pour le rinçage, alimenté par une eau claire. Les vêtements étaient d’abord trempés par les femmes, puis frottés au savon de Marseille, réputé pour être l’un des meilleurs détergents. Le linge était ensuite frappé vigoureusement au battoir pour en évacuer la saleté et le savon. Le rinçage exigeait de tordre et retordre le linge avant de l’égoutter. Certaines femmes en avaient même fait leur métier : les lavandières.
Vue sur le village perché d'Ansouis - ©Marie Grenouilleau - PNR Luberon Patrimoine et histoireAnsouis, village perché
Le village s’est développé dès le Xe s. autour du château et de l’église (XIe s.), situés en hauteur sur un mamelon. Positionné à un carrefour stratégique de routes anciennes, Ansouis était le centre administratif et commercial d’une baronnie regroupant Cucuron, Sannes et la Motte-d’Aigues. Moins influent (les crises du XVIIIe s.), moins habité (l’exode rural du XIXe s.), le village a conservé sa forme urbaine dense du XVIe s. qui en fait tout son charme, ainsi qu'un rare et précieux témoignage.
En hiver... - ©Françoise Delville - PNR Luberon FloreLe cycle de la vigne
En hiver, la vigne entre dans une période de sommeil. Au printemps, les bourgeons végétatifs commencent à se développer : c’est la période de croissance des rameaux et des feuilles. En juillet, le feuillage continue à se développer, et les fleurs donnent des grains de raisins. En août, les raisins verts grossissent et mûrissent : ils se colorent soit en rouge soit en jaune. En automne, lors des vendanges, les raisins sont récoltés. En fin de saison, les feuilles vont rougir, sécher et tomber.
Sur la bonne route... - ©Eric Garnier - PNR Luberon Produits du terroirAOC Luberon, savoir-faire reconnu
L’appellation d’origine contrôlée (AOC) Luberon, née en 1988, est le fruit d’un savoir-faire reconnu, entre traditions ancestrales transmises de génération en génération et innovations œnologiques. Elle produit les trois couleurs de vins : rouge, rosé et blanc. Entièrement située au cœur du Parc naturel régional du Luberon, l’appellation couvre 3 220 ha et génère environ 20 millions de bouteilles chaque année.
Étang de la Bonde - ©Aline Salvaudon - PNR Luberon Eaux et rivièresL'étang de la Bonde
L’étang de la Bonde a été créé au XVe s. par le seigneur Fouquet d'Agoult, baron de Sault. Il souhaitait constituer une réserve d’eau pour le château de La Tour d’Aigues et fit alors construire un aqueduc. Longtemps, l’étang a alimenté un vaste réseau d’irrigation, soutenant le développement agricole de la vallée d’Aigues et participant à l’essor du territoire. Aujourd’hui encore, il joue un rôle dans l’irrigation et est devenu un lieu apprécié pour la baignade.
La source du Mirail - ©Aline Salvaudon - PNR Luberon Eaux et rivièresLa source du Mirail
L'exploitation de la source du Mirail, en amont de la Motte-d’Aigues, date du Moyen Âge. Sa présence insolite au milieu de terres arides en a fait l'objet de rivalités et de convoitises entre les riverains du pays d'Aigues. Source d’eau potable, elle abreuve de nombreux petits cours d'eau, affluents directs en rive droite de la Durance, comme l'Èze. Aujourd'hui, elle alimente principalement l'étang de la Bonde et sert à l'irrigation des terres par le réseau de la Société du Canal de Provence.
Paysage du Pays d'Aigues - ©Françoise Delville - PNR Luberon Point de vueLa vie est douce à l'ombre des platanes...
Le Pays d'Aigues s'appuie sur le Luberon au nord et s'ouvre sur la vallée de la Durance au sud. Ce paysage au bassin doucement vallonné est dynamisé par l’alternance des forêts et des vignes. Les villages du Pays d'Aigues sont implantés à l’écart des zones inondables, pour la plupart sur des falaises ou des buttes, et orientés vers le sud. La vallée, riche en patrimoine bâti (mas, domaines) soulignée d'arbres remarquables, subit une pression croissante du bassin de vie d'Aix-en-Provence.
Vignoble du sud Luberon - ©Eric Garnier - PNR Luberon Produits du terroir2000 ans d'histoire de vignes
Contrairement aux idées reçues, la culture de la vigne dans le Luberon remonte à l’Antiquité. Les colons grecs ont introduit les premiers ceps, mais ce sont les Romains, grands amateurs de vin, qui ont réellement développé la viticulture sur le Pays d’Aigues. Au Moyen Âge, les ecclésiastiques, en particulier les grands monastères et les papes d’Avignon, ont contribué à renforcer l’importance de la vigne dans la région. Le Luberon s’est affirmé au XXe s. comme un terroir reconnu pour la qualité de ses vins.
Marché Paysan du Luberon - ©Hervé Vincent Produits du terroirLes Marchés Paysans
Sur cette grande place, pour les amateurs de saveurs provençales, la marque "Marché Paysan" est déposée par le Parc naturel régional du Luberon. Les fromages de chèvre sont du coin, les fruits et légumes "du champ d'à côté" et le miel vient d'être récolté. Sur ces marchés aux couleurs exaltantes, les commerçants sont exclusivement des producteurs du Parc vendant eux-mêmes leurs produits (marché de Saint-Martin-de-la-Brasque, les dimanches matin de mai à octobre).
Saint-Martin-de-la-Brasque - ©JP-Villegas - Luberon Sud Tourisme Patrimoine et histoireSaint-Martin-de-la-Brasque
Le village naît en 1506, comme Peypin-d’Aigues, d’un accord entre les seigneurs et une quinzaine de familles vaudoises qui acceptent de venir repeupler les terres en friche. Les deux villages se complètent : Peypin ayant un excédent de forêts, et Saint-Martin de terres cultivables. Durant les persécutions de 1545, le village est pillé et brûlé. Saint-Martin fait partie des villes visées par l’édit de Mérindol du 20 mai 1545 : il suffisait d'en être originaire pour être envoyé aux galères.
Eglise Saint Martin de Tour - ©JP-Villegas - Luberon Sud Tourisme Patrimoine et histoireEglise paroissiale de Saint Martin de Tours
Ce bâtiment religieux fut construit entre 1626 et 1929 pour remplacer l’ancienne église ruinée, dédiée à Saint Martin de Tours. Sa modeste taille et son éloignement du village s’expliquent par un trop faible nombre de familles catholiques. La majorité de la population étant d’origine vaudoise. À l’intérieur, le retable date du XVIIIe s. La nef voûtée en berceau brisé continu, terminée par une abside en cul-de-four, en fait un édifice à l’architecture unique.
Grambois - ©Eric Garnier - PNR Luberon Point de vuePaysage de Grambois
Ce village typique perché à 350 m sur un coteau escarpé s’est développé grâce à plusieurs facteurs lui offrant une position avantageuse. Au carrefour des axes Pertuis-Forcalquier et Lauris-Manosque, au sommet d’un promontoire permettant de dominer la vallée de l’Eze et qui se rattache au plateau de Saint-Léger, un territoire peu fertile, mais étendu et varié, qui associe des fonds de vallons humides à quelques coteaux bien exposés et à de larges parcours de pâturages forestiers.
Coing du verger villageois - ©Jean-Pierre Talichet - PNR Luberon FloreVerger conservatoire de Grambois
Le verger villageois de Grambois est aménagé au pied du village, sur un terrain panoramique doté d'un ancien pigeonnier restauré. Il est entretenu conjointement par la municipalité, les Gramboisiens et les Gramboisiennes, et le Parc naturel régional du Luberon. Ce verger conservatoire permet de perpétuer la culture de variétés anciennes de fruitiers et de rassembler une collection de 91 variétés traditionnelles du Luberon et de la Provence. Une belle conservation du patrimoine fruitier !
La fontaine aux Bartavelles - Séverine Besson - OT Luberon Côté Sud Patrimoine et histoireLe village de Grambois
Sur la place des remparts se côtoient plusieurs monuments tels que le château (ancienne demeure seigneuriale du XVIe s.), l’église Notre-Dame de Beauvoir du XIe s. et la Fontaine aux Bartavelles, un véritable décor de cinéma qu'a sélectionné Yves Robert pour ses tournages. Le village dispose aussi de deux sources aux caractères bucoliques : Fontsausse et Fontvérane. Autrefois nécessaires à la vie du village, les chemins les desservant ont gardé une trace de leur importance en prenant leurs noms.
Jean-le-Blanc en vol stationnaire - ©Alexis Maury Dalmazane - PNR Luberon FauneCircaète Jean-le-Blanc
Fait unique parmi nos rapaces européens, le Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus) est un nicheur forestier chasse les reptiles (serpents et gros lézards) à la vue dans les milieux ouverts (garrigues, pierriers, champs, vignes). Grand migrateur, il passe l’hiver au Sud du Sahara. 1,80 m d’envergure, ventre blanc, poitrine brune et vol battu sur place caractéristique, le Circaète Jean-le-Blanc ne passe pas inaperçu pour qui sait être attentif. Présent chez nous de mars à septembre, ce rapace original est un élément clé de notre patrimoine naturel.
Coquelicots et bleuets - ©Laurent Michel - PNR Luberon FloreCamaïeu de rouge ou de bleu, je suis... ?
Les fleurs "amies des moissons", dites messicoles, colorent les champs provençaux dès la fin du printemps, offrant des teintes qui ont tant inspiré Van Gogh. Cependant, l’évolution de l’agriculture a raréfié ces plantes, biologiquement adaptées aux milieux ouverts et perturbés (mais non traités !) que sont les terres cultivées. Grâce au maintien d’un terroir agricole de qualité, adonis, bleuets et miroirs de Vénus survivent encore sur le territoire du Parc naturel régional du Luberon, pour le plaisir des yeux !
Lapin de garenne - ©DR FauneQuand le feu a du bon !
En 1992, un incendie dévaste 1 800 ha de forêt et de garrigue de Grambois jusqu’à Beaumont-de-Pertuis. Ce triste événement a eu un rare effet positif : la réouverture des milieux au cœur du massif. Cela permit à des espèces, comme le lapin de garenne ou certains passereaux, de reprendre leurs droits. Parallèlement, afin de pérenniser une grande coupure au sein du massif, essentielle dans la stratégie de lutte contre les incendies, un vaste secteur pâturé par les moutons a été restauré.
Lavoir à mosaïques de Beaumont-de-Pertuis - ©Axelle Baumard - PNR Luberon Eaux et rivièresLavoir à mosaïques
Au carrefour de la rue du 19 mars 1962 et du cours Emile Pardé, un lavoir orné d’un joli triton en fonte attire le regard. Il est décoré de mosaïques récentes, portant l’inscription "vall". Une petite placette avec des bancs permet de s’y arrêter pour l’admirer tranquillement.
Fontaine moussue et son lavoir - ©Axelle Baumard - PNR Luberon Eaux et rivièresFontaine moussue et son lavoir
Située cours Pardé, cette fontaine impose avec son rocher moussu. Un système de rigole maçonné derrière la paroi de celle-ci alimente le lavoir situé sous la voûte juste à proximité. Le lavoir est composé de deux bassins ovoïdes et de deux barres d’égouttage. Le bac du fond servait au rinçage.
Le village de Beaumont-de-Pertuis - ©Camille Moirenc Patrimoine et histoireLa face cachée de Beaumont-de-Pertuis
Perché sur une butte, le village affiche une silhouette caractéristique, modelée par les habitations regroupées autour de l’ancien castrum, dont subsistent encore quelques vestiges de remparts médiévaux. Mais Beaumont cache aussi un patrimoine souterrain remarquable : chaque maison repose sur des caves datant du XIIIe s., voire d’avant. Certaines, de taille modeste, servaient autrefois à conserver le fromage. D’autres, bien plus impressionnantes, sont de véritables "cathédrales gothiques" souterraines. Ces dernières, situées sur des domaines privés, ne sont pas ouvertes à la visite.
Place Farnese et sa fontaine - ©Axelle Baumard - PNR Luberon Eaux et rivièresComme un air d'Italie
La place Farnese tient son nom du village italien de Farnese, jumelé avec Beaumont-de-Pertuis depuis 1993. Située derrière la mairie, cette petite place accueille une jolie fontaine, aujourd’hui malheureusement à sec. Parmi les activités qui symbolisent ce jumelage, on peut citer le rallye cyclotouriste Beaumont-Farnese, une aventure de 800 km reliant les deux villages.
Village de Mirabeau - ©Ludovic Laffitte - Luberon Sud Tourisme Patrimoine et histoireLe village de Mirabeau
Mirabeau a bénéficié dès le Moyen-Âge d’une position stratégique, grâce à sa clue, un passage privilégié pour franchir la Durance, lui permettant de contrôler le flux des personnes et marchandises. Au XVIe s., un bac fut installé avec l’instauration d’un droit de passage, ce qui permit au village de prospérer autour de son château construit au XVIIe s. Au XVe s. fut construit le pont de Mirabeau, détruit à quatre reprises par la Durance mais toujours reconstruit pour son avantage lucratif.
Pylône et lignes électriques - ©DR FauneLignes électriques, menaces aériennes
Les lignes à haute et moyenne tension créent un réel danger pour les oiseaux en raison des collisions et électrocutions. Pour les grands oiseaux planeurs (aigles, vautours, cigognes), ces infrastructures représentent l’une des principales causes de mortalité d’origine humaine. Des solutions existent : l’enfouissement des lignes, la pose de balises améliorant la visibilité des câbles, le renouvellement des pylônes les plus dangereux, la création de perchoirs sur ceux-ci ou leur meilleure isolation.
Une huppe fasciée - ©Alexis Maury Dalmazane - PNR Luberon FauneHuppe fasciée
Malgré sa jolie crête qui peut être dressée en éventail, la huppe fasciée est plus souvent entendue que vue, grâce à son chant « houp-houp-houp » facilement reconnaissable. Cette espèce insectivore utilise son long bec courbé pour extraire les larves et cocons du sol. Elle fréquente les zones cultivées, vignobles, vergers ou oliveraies. Protégée en France depuis 1981, ce grand migrateur passe l’hiver en Afrique. Une légende raconte qu’entendre son chant serait le signe de bonnes vendanges !
Redressage de ferrure - ©Damien Rosso - Drozphoto Patrimoine et histoireDans la rue des Ferrages
« Ferrages » peut référer à l’endroit où habite le maréchal ferrant et, plus vraisemblablement ici, au « terrain humide » voué aux plantes fourragères. À l’époque, le village se limitait aux hauteurs et toutes les eaux usées s’écoulaient en bas du village, créant un terrain humide. Cette rue a toujours été un lieu de passage incontournable. Les chevaux pouvaient d’ailleurs se reposer dans une grange qui se trouvait à l’actuel emplacement de la mairie.
©DR Patrimoine et histoireL'Ecole-Mairie
En 1833, une loi rend l’instruction primaire obligatoire. Mais comment payer l’instituteur, le loger et louer un local pour la classe ? En 1844, le conseil municipal fait l’acquisition d’une maison qui abritera l’école et la mairie, les locaux sont très vétustes. En 1883, la Bastidonne offre pour ses enfants une école de couture. Il est curieux de constater que les instituteurs sont payés de 900 F à 1 200 F l’an, tandis que les institutrices ne perçoivent que 700 F à 900 F...
Eolienne de pompage - ©Séverine Besson - Luberon Sud Tourisme Savoir-faireUne manière d'utiliser le vent !
Les éoliennes de pompage transforment la force du vent en énergie mécanique pour actionner une pompe à eau. Mises en rotation, les pales de l’éolienne créent un mouvement vertical de la pompe dans l’eau, activant le mécanisme d’aspiration. L’eau peut ainsi être pompée dès que le vent souffle à 11 km/h. Dans une région aussi sèche et aussi ventue que le Luberon, pas étonnant que les agriculteurs aient souhaité profiter du Mistral et de ses 50 km/h en moyenne pour irriguer leurs terres cultivées !
Description
De la Place de la Vieille Fontaine, s’engager à gauche sur la petite route du quartier Le Grand Pibaraud. Au croisement en Y, prendre à droite et 370 m plus loin, bifurquer à droite Chemin de l’Abouaud Brinde. Déboucher sur la D37 et l’emprunter à gauche, direction l’Etang de la Bonde. Virer à gauche (D9) puis à droite (D27). Passer l’entrée de l’étang et 500 m plus loin, bifurquer à droite (D37). Virer à gauche Chemin des Escabots et continuer à droite (D120).
1- Au carrefour de la D165, virer à gauche en direction de Saint-Martin-de-La Brasque. À l’Y 250 m plus loin, quitter la D165 et prendre à gauche. À l’entrée du village, virer à droite et traverser le grand parking. À l’angle de la mairie, tourner à gauche et avancer tout droit jusqu’à la D27.
2- Virer à droite, laisser partir à gauche l'itinéraire vélo "Autour du Luberon", et bien poursuivre la D27 jusqu’au pied du village de Grambois (circuit n°14). Avant le stop, tourner à gauche, déboucher sur la D956 puis prendre à droite au rond-point (D122). Franchir le pont sur l’Eze, gravir les lacets et atteindre le haut de Grambois.
3- Au rond-point, tourner à droite vers Beaumont-de-Pertuis. À l’Y poursuivre à gauche la D122 sur 4 km. Virer à droite en direction de Beaumont-de-Pertuis (tronçon de D42 commun avec l'itinéraire vélo "Autour du Luberon").
4- À l’intersection, laisser partir à gauche l'itinéraire vélo "Autour du Luberon" et poursuivre à droite (circuit n°14) vers le centre de Beaumont-de-Pertuis (D42).
5- Face à la mairie, virer à droite. Suivre la route de Mirabeau (D198). Dépasser Notre-Dame de Beauvoir, basculer et poursuivre jusqu’à Mirabeau.
6- Au pied de Mirabeau, juste après les tennis, virer deux fois à droite et emprunter la route de La Tour-d’Aigues (D135). Plus loin, tourner deux fois à gauche et une fois à droite, puis se laisser glisser jusqu’à La Tour-d’Aigues (D135). À hauteur l’entrée de Notre-Dame de Ferrage, continuer tout droit sur 150 m.
7- Au carrefour, virer à gauche en direction de La Bastidonne (D165). Plus loin à l’Y, poursuivre à gauche et rejoindre La Bastidonne (circuit n°14 toujours).
8- Juste après la mairie de La Bastidonne, virer à gauche rue des Ferrages et rue de Fonvieille. Passer à gauche sous le pont. Poursuivre ensuite le chemin des Condamines vers l’ouest. Devant le Haras de Castellane, virer à droite pour se diriger vers le centre de Pertuis. Dépasser le stade Saint-Roch et au feu, tourner à gauche bd Ledru-Rollin (D975). À peine 200 m plus loin, bifurquer à gauche rue Saint-Roch (panneau vélo ‘’Gare sncf’’). Filer tout droit, sortir des lotissements et au laisser le passage, virer à droite pour rejoindre le parking et la Gare sncf de Pertuis.
- Départ : Place de la Vieille Fontaine, située au pied nord du village d'Ansouis
- Arrivée : Gare sncf, au sud du centre ancien de Pertuis
- Communes traversées : Ansouis, Sannes, La Motte-d'Aigues, Saint-Martin-de-la-Brasque, Peypin-d'Aigues, Grambois, Beaumont-de-Pertuis, Mirabeau, La Tour-d'Aigues, La Bastidonne et Pertuis
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Cet itinéraire emprunte des voies ouvertes à la circulation publique ; en toutes circonstances, il est donc impératif de rester prudent et de respecter le code de la route.
- À vélo, le port du casque est obligatoire pou rles moins de 12 ans et fortement recommandé pour les plus grands et les adultes !
- Même lorsque la visibilité est bonne, je porte des vêtements de couleurs vives, bien voyants ou rétroréfléchissants.
Lieux de renseignement
OTI Luberon Sud Tourisme
Le Château - BP 16, 84240 La Tour d'Aigues
Horaires d’ouverture :
AVRIL / MAI / JUIN ET SEPTEMBRE
Du mardi au samedi : de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30.
EN JUILLET ET AOÛT
Lundi : 15h – 18h.
Du mardi au samedi : 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Dimanche : de 9h45 à 12h45 (du 09/07 au 20/08).
JOURS FÉRIÉS
18 mai (Ascension) : de 9h30 à 12h30.
14 juillet : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
15 août : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Accès
- Numéro de secours :
- 114
En savoir plus
Source

Signaler un problème ou une erreur
Vous avez repéré une erreur sur cette page ou constaté un problème lors de votre randonnée, signalez-les nous ici :
À proximité19
- Site de visite
- Hébergement - Restauration
- Hébergement - Restauration
- Produit du terroir et artisanat
Produit du terroir et artisanat
Les vignobles de Mont Thabor
Après plusieurs générations de viticulteurs, la famille Bremond, menée par le fils Vincent, s’est associée à la famille Stehelin pour donner le meilleur de leurs vignobles en Luberon et à Châteauneuf-du-Pape, et ainsi créer une nouvelle gamme de vins. - Site de visite