ANSOUIS - PERTUIS - Le Pays d'Aigues à vélo - jour 2
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PERTUIS - Le Pays d'Aigues à vélo en 2 jours
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ANSOUIS - PERTUIS - Le Pays d'Aigues à vélo - jour 2
Ansouis

2. ANSOUIS - PERTUIS - Le Pays d'Aigues à vélo - jour 2

Eaux et rivières
Patrimoine et histoire
Produits du terroir
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Seconde étape de la grande boucle du "Pays d'Aigues à vélo" (circuit n°14 avec signalétique permanente) qui chemine entre les villages du sud Luberon. Un vrai bonheur !

Cette seconde étape du tour du ''Pays d'Aigues à vélo'', qui relie Ansouis à Pertuis, est un peu plus mouvementée que la première ; les montées régulières et descentes élancées se succèdent. Vous passerez ainsi, en suivant aisément le balisage permanent, d’un hameau blotti à un village perché comme un phare. Vous profiterez de la beauté inoubliable des paysages, des places ombragées et des fontaines, et des prestataires touristiques marqués "Acceuil Vélo".


Les 27 patrimoines à découvrir

  • Patrimoine et histoire

    Le lavoir d'Ansouis

    Typique avec deux bassins un pour le lavage et un second pour le rinçage avec l’arrivée d’eau qui devait être bien propre. Les vêtements étaient trempés par les femmes dans l’eau, puis frottés au « savon de Marseille » réputé pour être un des meilleurs détergents, puis il était frappé rudement plusieurs fois au battoir pour en évacuer la saleté et le savon. Le rinçage exigeait de tordre et retordre le linge avant de l’égoutter. Certaines femmes en avaient fait leur profession : les lavandières.

  • Patrimoine et histoire

    Ansouis, village perché

    Le village s’est développé dès le Xe s. autour du château et de l’église (XIe s.) situés en hauteur sur un mamelon. Positionné à un carrefour stratégique de routes anciennes, Ansouis était le centre administratif et commercial d’une baronnie regroupant Cucuron, Sannes et la Motte d’Aigues. Moins influent (les crises du XVIIIe s.), moins habité (l’exode rural du XIXe s.), le village a conservé sa forme urbaine dense du XVIe s. qui en fait tout son charme et un rare et précieux témoignage.

  • Flore

    Le cycle de la vigne

    En hiver, la vigne entre dans une période de sommeil. Au printemps, les bourgeons végétatifs commencent à se développer, c’est la période de croissance des rameaux et des feuilles. En juillet, le feuillage continue à se développer et les fleurs donnent des grains de raisins. En août, les raisins verts grossissent et mûrissent, ils se colorent soit en rouge, soit en jaune. En automne, lors des vendanges les raisins sont récoltés. En fin de saison, les feuilles vont rougir, sécher et tomber.

  • Produits du terroir

    AOC Luberon, savoir-faire reconnu

    L’appellation d’origine contrôlée Luberon, née en 1988,  est le résultat d’un savoir-faire, reconnu et avéré, qui se situe entre traditions ancestrales, précieusement transmises de génération en génération et derniers progrès de la technologie et de l’œnologie. L’appellation produit les trois couleurs de vins : rouge, rosé et blanc. La totalité de l’AOC est niché au cœur du Parc naturel régional du Luberon et représente 3 220 ha et produit environ 20 millions de bouteilles par an.

  • Eaux et rivières

    L'étang de la Bonde

    L’étang a été créé au XVe s. par le seigneur Fouquet d'Agoult, baron de Sault, qui décide de créer une réserve d'eau pour le château de La Tour d'Aigues, et fait alors réaliser un aqueduc. L'étang ainsi constitué fut longtemps le point d'alimentation d'un réseau d'irrigation qui alimentait toute la vallée d'Aigues, contribuant à l'expansion de l'agriculture et à l’essor du territoire. Aujourd'hui, l'étang continue à être utilisé pour l'irrigation et est un lieu prisé pour la baignade.

  • Eaux et rivières

    La source du Mirail

    L'exploitation de la source du Mirail, en amont de la Motte-d’Aigues, date du Moyen-Age. Sa présence insolite au milieu de terres arides en a fait l'objet de rivalité et de convoitise entre les riverains du pays d'Aigues. Source d’eau potable, elle abreuve de nombreux petits cours d'eau, affluents directs en rive droite de la Durance, comme l'Eze. Aujourd'hui elle alimente principalement l'étang de la Bonde et sert donc à l'irrigation des terres par le réseau de la Société du Canal de Provence.

  • Point de vue

    La vie est douce à l'ombre des platanes...

    Le Pays d'Aigues s'appuie sur le Luberon au nord et s'ouvre sur la vallée de la Durance au sud. Ce paysage au bassin doucement vallonné est dynamisé par l’alternance des forêts et des vignes. Les villages du Pays d'Aigues sont implantés à l’écart des zones inondables, pour la plupart sur des falaises ou des buttes, et orientés vers le sud. La vallée, riche en patrimoine bâti (mas, domaines) souligné d'arbres remarquables, subit une pression croissante du bassin de vie d'Aix en Provence.

  • Produits du terroir

    2000 ans d'histoire de vignes

    Contrairement aux idées reçues, la culture de la vigne a débuté ici dès l’Antiquité ! Les colons Grecs ont apporté les premiers ceps de vignes, mais se sont les Romains, grands amateurs de vins qui ont surtout développé la viticulture dans le Luberon et sur le Pays d’Aigues. Au Moyen-Age, les ecclésiastiques dont les grands monastères et les papes d’Avignon participent à la promotion du travail de la vigne. Le Luberon s’imposera au XXe s. comme terroir de qualité pour la production du vin.

  • Produits du terroir

    Les Marchés Paysans

    Sur cette grande place, pour les amateurs de saveurs provençales, la marque “Marché Paysan” est déposée par le Parc naturel régional du Luberon. Les fromages de chèvre sont du coin, les fruits et légumes du champ "d'à côté" et le miel vient d'être récolté. Sur ces marchés aux couleurs exaltantes, les commerçants sont exclusivement des producteurs du Parc vendant eux-mêmes leurs produits (marché de St-Martin-de-la-Brasque les dimanches matin de mai à octobre).

  • Patrimoine et histoire

    Saint-Martin-de-la-Brasque

    Le village naît en 1506, comme Peypin-d’Aigues, d’un accord entre les seigneurs et une quinzaine de familles vaudoises qui acceptent de venir repeupler les terres en friches. Les deux villages se complètent : Peypin ayant un excédent de forêts, et Saint-Martin de terres cultivables. Durant les persécutions de 1545, le village est pillé et brûlé. Saint-Martin fait partie des villes visées par l’édit de Mérindol du 20 mai 1545 : il suffisait d'en être originaire pour être envoyé aux galères.

  • Patrimoine et histoire

    Eglise paroissiale de Saint Martin de Tours

    Ce bâtiment religieux fut construit entre 1626 et 1929 pour remplacer l’ancienne église ruinée, dédiée à Saint Martin de Tours. Sa modeste taille et son éloignement du village s’expliquent par un trop faible nombre de familles catholiques. La majorité de la population étant d’origine vaudoise. À l’intérieur, le retable date du XVIIIe s. La nef voûtée en berceau brisé continu, terminée par une abside en cul-de-four, en fait un édifice à l’architecture unique.

  • Point de vue

    Paysage de Grambois

    Ce village typique perché à 350 m sur un coteau escarpé s’est développé grâce à plusieurs facteurs lui offrant une position avantageuse. Au carrefour des axes Pertuis-Forcalquier et Lauris-Manosque, au sommet d’un promontoire permettant de dominer la vallée de l’Eze et qui se rattache au plateau de Saint-Léger, un territoire peu fertile, mais étendu et varié, qui associe des fonds de vallons humides à quelques coteaux bien exposés et à de larges parcours de pâturages forestiers.

  • Flore

    Verger Conservatoire

    Le verger villageois de Grambois est aménagé au pied du village, sur un terrain panoramique doté d'un ancien pigeonnier restauré. Il est entretenu conjointement par la municipalité, les Gramboisiens et les Gramboisiennes, et le Parc naturel régional du Luberon. Ce verger conservatoire permet de perpétuer la culture de variétés anciennes de  fruitiers et de rassembler une collection de 91 variétés traditionnelles du Luberon et de la Provence. Une belle conservation du patrimoine fruitier !

  • Patrimoine et histoire

    Le village de Grambois

    Sur la place des remparts se côtoient plusieurs monuments tels que le château (ancienne demeure seigneuriale du XVIe s.), l’église Notre-Dame de Beauvoir du XIe s. et la Fontaine aux Bartavelles, un véritable décor de cinéma qu'a sélectionné Yves Robert pour ses tournages. Le village dispose aussi de deux sources aux caractères bucoliques : Fontsausse et Fontvérane. Autrefois nécessaires à la vie du village, les chemins les desservant ont gardé une trace de leur importance en prenant leurs noms.

  • Faune

    Circaète Jean-le-Blanc

    Fait unique parmi nos rapaces européens, ce nicheur forestier chasse les reptiles (serpents et gros lézards) à la vue dans les milieux ouverts (garrigues, pierriers, champs, vignes). Grand migrateur, il passe l’hiver au Sud du Sahara. 1,8 m d’envergure, ventre blanc, poitrine brune et vol battu sur place caractéristique, le Circaète ne passe pas inaperçu pour qui sait être attentif. Présent chez nous de mars à septembre, ce rapace original est un élément clé de notre patrimoine naturel.

  • Flore

    Camaïeu de rouge ou de bleu, je suis...?

    Les “fleurs amies des moissons” dites messicoles donnent, à partir de la fin du printemps, ces couleurs dans les champs provençaux qui ont tant séduit Van Gogh. Mais l’évolution de l’agriculture a entraîné la raréfaction de ces plantes, biologiquement adaptées aux milieux ouverts et perturbés (mais non traités !) que sont les terres cultivées. Grâce au maintien d’un terroir agricole de qualité, adonis, bleuets et miroirs de vénus survivent sur le territoire du Parc, pour le plaisir des yeux !

  • Faune

    Quand le feu a du bon !

    En 1992, un incendie dévaste 1 800 ha de forêt et de garrigue de Grambois jusqu’à Beaumont-de-Pertuis. Ce triste événement a eu un rare effet positif : la réouverture des milieux au cœur du massif. Cela permit à des espèces, comme le lapin de garenne ou certains passereaux, de reprendre leurs droits. Parallèlement, afin de pérenniser une grande coupure au sein du massif, essentielle dans la stratégie de lutte contre les incendies, un vaste secteur pâturé par les moutons a été restauré.

  • Eaux et rivières

    Lavoir à mosaïque

    Au carrefour de la rue du 19 mars 1962 et du cours Emile Parde, se dresse ce lavoir avec son joli triton en fonte. Il est orné de mosaïques réalisées récemment dont l'inscription "vall". Devant, une placette avec des bancs permettent de le contempler.

  • Eaux et rivières

    Fontaine moussue et son lavoir

    Située cours Pardé, cette fontaine impose avec son rocher moussu. Un système de rigole maçonné derrière la paroi de celle-ci, alimente le lavoir situé sous voûte juste à proximité. Le lavoir est composé de deux bassins ovoïdes et de deux barres d’égouttage. Le bac du fond servait au rinçage.

  • Patrimoine et histoire

    La face cachée de Beaumont-de-Pertuis

    Perchée sur une butte, la silhouette de ce village est affirmée par l’habitat qui s’est regroupé autour du castrum, dont il ne subsiste que quelques vestiges de remparts médiévaux. Mais Beaumont possède un important et extraordinaire patrimoine souterrain, chaque maison est construite sur des caves du XIIIe s. voire avant. Certaines de taille modeste étaient utilisées pour la conservation du fromage, mais d’autres sont de réelles « cathédrales gothiques » enterrées (domaine privé, ne se visitent pas).

  • Eaux et rivières

    Comme un air d'Italie

    La place Farnese, tire son nom du village de Farnese en Italie, qui est jumelé avec Beaumont-de-Pertuis depuis 1993. Sur cette petite place, située derrière la mairie, s'observe une jolie fontaine qui malheureusement ne coule plus. Parmi les activités farneso-beaumontaises, on peut citer le rallye cyclotouriste Beaumont-Farnèse qui consiste à parcourir les 800 km entre les deux villages.

  • Patrimoine et histoire

    Le village de Mirabeau

    Mirabeau a bénéficié dès le Moyen-Âge d’une position stratégique, grâce à sa clue, un passage privilégié pour franchir la Durance, lui permettant de contrôler le flux des personnes et marchandises. Au XVIe s., un bac fut installé avec l’instauration d’un droit de passage, ce qui permit au village de prospérer autour de son château construit au XVIIe s. Au XVe s. fut construit le pont de Mirabeau, détruit à quatre reprises par la Durance mais toujours reconstruit pour son avantage lucratif.

  • Faune

    Lignes électriques, menaces aériennes

    Les lignes à haute et moyenne tension créent un réel danger pour les oiseaux en raison des collisions et électrocutions. Pour les grands oiseaux planeurs (aigles, vautours, cigognes), ces infrastructures représentent l’une des principales causes de mortalité d’origine humaine. Des solutions existent : l’enfouissement des lignes, la pose de balises améliorant la visibilité des câbles, le renouvellement des pylônes les plus dangereux, la création de perchoirs sur ceux-ci ou leur meilleure isolation.

  • Faune

    Huppe fasciée

    Malgré sa jolie crête qui peut être dressée en éventail, la huppe fasciée est plus souvent entendue que vue, grâce à son chant « houp-houp-houp » facilement reconnaissable. Cette espèce insectivore utilise son long bec courbé pour extraire les larves et cocons du sol. Elle fréquente les zones cultivées, vignobles, vergers ou oliveraies. Protégée en France depuis 1981, ce grand migrateur passe l’hiver en Afrique. Une légende raconte qu’entendre son chant serait le signe de bonnes vendanges !

  • Patrimoine et histoire

    Dans la rue des Ferrages

    « Ferrages » peut référer à l’endroit où habite le maréchal ferrant et, plus vraisemblablement ici, au « terrain humide » voué aux plantes fourragères. À l’époque, le village se limitait aux hauteurs et toutes les eaux usées s’écoulaient en bas du village, créant un terrain humide. Cette rue a toujours été un lieu de passage incontournable. Les chevaux pouvaient d’ailleurs se reposer dans une grange qui se trouvait à l’actuel emplacement de la mairie.

  • Patrimoine et histoire

    L'Ecole-Mairie

    En 1833, une loi rend l’instruction primaire obligatoire. Mais comment payer l’instituteur, le loger et louer un local pour la classe ? En 1844, le conseil municipal fait l’acquisition d’une maison qui abritera l’école et la mairie, les locaux sont très vétustes. En 1883, la Bastidonne offre pour ses enfants une école de couture. Il est curieux de constater que les instituteurs sont payés de 900 F à 1 200 F l’an, tandis que les institutrices ne perçoivent que 700 F à 900 F...

  • Savoir-faire

    Une manière d'utiliser le vent !

    Les éoliennes de pompage transforment la force du vent en énergie mécanique pour actionner une pompe à eau. Mises en rotation, les pales de l’éolienne créent un mouvement vertical de la pompe dans l’eau, activant le mécanisme d’aspiration. L’eau peut ainsi être pompée dès que le vent souffle à 11 km/h. Dans une région aussi sèche et aussi ventue que le Luberon, pas étonnant que les agriculteurs aient souhaité profiter du Mistral et de ses 50 km/h en moyenne pour irriguer leurs terres cultivées !


Description

De la Place de la Vieille Fontaine, s’engager à gauche sur la petite route du quartier Le Grand Pibaraud. Au croisement en Y, prendre à droite et 370 m plus loin, bifurquer à droite Chemin de l’Abouaud Brinde. Déboucher sur la D37 et l’emprunter à gauche, direction l’Etang de la Bonde. Virer à gauche (D9) puis à droite (D27). Passer l’entrée de l’étang et 500 m plus loin, bifurquer à droite (D37). Virer à gauche Chemin des Escabots et continuer à droite (D120).
1- Au carrefour de la D165, virer à gauche en direction de Saint-Martin-de-La Brasque. À l’Y 250 m plus loin, quitter la D165 et prendre à gauche. À l’entrée du village, virer à droite et traverser le grand parking. À l’angle de la mairie, tourner à gauche et avancer tout droit jusqu’à la D27.
2- Virer à droite, laisser partir à gauche l'itinéraire vélo "Autour du Luberon", et bien poursuivre la D27 jusqu’au pied du village de Grambois (circuit n°14). Avant le stop, tourner à gauche, déboucher sur la D956 puis prendre à droite au rond-point (D122). Franchir le pont sur l’Eze, gravir les lacets et atteindre le haut de Grambois.
3- Au rond-point, tourner à droite vers Beaumont-de-Pertuis. À l’Y poursuivre à gauche la D122 sur 4 km. Virer à droite en direction de Beaumont-de-Pertuis (tronçon de D42 commun avec l'itinéraire vélo "Autour du Luberon").
4- À l’intersection, laisser partir à gauche l'itinéraire vélo "Autour du Luberon" et poursuivre à droite (circuit n°14) vers le centre de Beaumont-de-Pertuis (D42).
5- Face à la mairie, virer à droite. Suivre la route de Mirabeau (D198). Dépasser Notre-Dame de Beauvoir, basculer et poursuivre jusqu’à Mirabeau.
6- Au pied de Mirabeau, juste après les tennis, virer deux fois à droite et emprunter la route de La Tour-d’Aigues (D135). Plus loin, tourner deux fois à gauche et une fois à droite, puis se laisser glisser jusqu’à La Tour-d’Aigues (D135). À hauteur l’entrée de Notre-Dame de Ferrage, continuer tout droit sur 150 m.
7- Au carrefour, virer à gauche en direction de La Bastidonne (D165). Plus loin à l’Y, poursuivre à gauche et rejoindre La Bastidonne (circuit n°14 toujours).
8- Juste après la mairie de La Bastidonne, virer à gauche rue des Ferrages et rue de Fonvieille. Passer à gauche sous le pont. Poursuivre ensuite le chemin des Condamines vers l’ouest. Devant le Haras de Castellane, virer à droite pour se diriger vers le centre de Pertuis. Dépasser le stade Saint-Roch et au feu, tourner à gauche bd Ledru-Rollin (D975). À peine 200 m plus loin, bifurquer à gauche rue Saint-Roch (panneau vélo ‘’Gare sncf’’). Filer tout droit, sortir des lotissements et au laisser le passage, virer à droite pour rejoindre le parking et la Gare sncf de Pertuis.

  • Départ : Place de la Vieille Fontaine, située au pied nord du village d'Ansouis
  • Arrivée : Gare sncf, au sud du centre ancien de Pertuis
  • Communes traversées : Ansouis, Sannes, La Motte-d'Aigues, Saint-Martin-de-la-Brasque, Peypin-d'Aigues, Grambois, Beaumont-de-Pertuis, Mirabeau, La Tour-d'Aigues, La Bastidonne et Pertuis

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

  • Cet itinéraire emprunte des voies ouvertes à la circulation publique ; en toutes circonstances, il est donc impératif de rester prudent et de respecter le code de la route.
  • À vélo, le port du casque est obligatoire pou rles moins de 12 ans et fortement recommandé pour les plus grands et les adultes !
  • Même lorsque la visibilité est bonne, je porte des vêtements de couleurs vives, bien voyants ou rétroréfléchissants.

Lieux de renseignement

OTI Luberon Sud Tourisme

Le Château - BP 16, 84240 La Tour d'Aigues

https://www.luberon-sud-tourisme.fr/contact@luberon-sud-tourisme.fr+33 (0)4 90 07 50 29
Accessibilité :
Idéalement situé dans le Château de La Tour d’Aigues (le siège social), classé Monument Historique, sur la place du village, et à Cucuron, l’OT Luberon Sud Tourisme vous accueille, vous informe et vous conseille toute l’année lors de votre séjour en Luberon. Nous sommes également disponibles avant votre séjour pour vous aider à planifier le circuit de vos vacances : hébergements, incontournables, visites, activités, nous sommes là pour vous guider !

Horaires d’ouverture :

AVRIL / MAI / JUIN ET SEPTEMBRE
Du mardi au samedi : de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30.

EN JUILLET ET AOÛT
Lundi : 15h – 18h.
Du mardi au samedi : 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Dimanche : de 9h45 à 12h45 (du 09/07 au 20/08).

JOURS FÉRIÉS
18 mai (Ascension) : de 9h30 à 12h30.
14 juillet : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
15 août : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.

OT Pertuis

Palce Mirabeau, 84120 Pertuis

http://www.tourismepertuis.fr/+33 (0)4 90 79 15 56

Accès routiers et parkings

À 8 km au nord de Pertuis, par les D56 et D37.

Stationnement :

Parking à proximité de l’office de tourisme, en contrebas de la route de Cucuron (D56)

Accessibilité

Cyclosportif
VTC
Numéro de secours :114

Source


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