
PERTUIS - ANSOUIS - Le Pays d'Aigues à vélo - jour 1
La première étape du tour du ''Pays d'Aigues en vélo'' (circuit n°14 avec signalétique permanente) a le mérite de commencer tranquilement le long de La Durance, avant de s'élever doucement vers les contreforts du Grand Luberon. Sur de petites routes, entre vignes et villages, vous vous faufilerez avec plaisir en suivant le balisage permanent. La faible distance totale à parcourir sur cette étape vous permetra de profiter au mieux des plaisirs gourmands, des visites de caveaux, de musées et autres sites de visites.
Les 25 patrimoines à découvrir
La caserne inondée pendant la crue de 1993 - ©DR-Guy-Marie Gautier Eaux et rivièresL'Eze, une rivière torrentielle
Cette rivière qui prend sa source en amont de la Bastide des Jourdans à une vingtaine de km, souvent à sec l’été, est cependant de régime de type torrentiel et peut connaître des crues soudaines suite à d'orages violents. L'Eze est l'exutoire naturel de toutes les précipitations tombées en amont dans le Pays d'Aigues. C'est ce qui s'est passé en septembre 1993. La caserne des pompiers que vous apercevez depuis le pont était paralysée !
Le canal à hauteur de Cadenet - ©Emilie Auray - PNR Luberon Eaux et rivièresLe Canal du Sud Luberon
Terminé en 1862, il sert à l'irrigation de la plaine de la Durance. Il prend ses eaux dans la Durance en amont de Pertuis près de la Loubière, et longe les collines jusqu'à Cadenet, puis Lauris. Il dessert près de 3 200 ha de terres. Vous apercevez le passage en siphon sous la rivière l'Eze dans laquelle il déverse également en cas de nécessité de décharge.
Pomme de terre de Pertuis - ©DR Produits du terroirLa pomme de terre de Pertuis
La légende raconte que la pomme de terre aurait été ramenée dans la région à la fin du XVIIIe s. par un paysan de la Tour d’Aigues, Job le rouge, de retour des expéditions napoléoniennes. Avant la deuxième guerre mondiale, on comptait près de 2 000 ha, ce qui a permis à de nombreux Marseillais de se nourrir pendant l’occupation. La pomme de terre à chair jaune est vendue non lavée pour favoriser sa conservation et les variétés les plus cultivées sont la Monalisa et la Samba.
L'Apron du Rhône jouant à cache-cache - ©DR FauneRare et discret, je suis...
L’Apron du Rhône ! Je suis un malin et me fait très discret. La journée, je reste au fond de la Durance et prend la teinte des galets pour me fondre dans le décor et échapper aux prédateurs. La nuit, quand tout le monde dort, je pars en chasse pour me nourrir. Même avec une telle discrétion, nous sommes très peu de mon espèce à être toujours en vie. Seulement présents dans les affluents du Rhône (et nulle part ailleurs dans le monde), la Durance est l’un de mes terrains de jeu favori.
La Durance - ©Jérôme Brichard - PNR Luberon Eaux et rivièresLa Durance, reine de la Provence
Prenant sa source au mont Genèvre dans les Hautes-Alpes, la Durance poursuit sa course dans les Alpes-de-Haute-Provence pour ensuite matérialiser la limite entre Bouches-du-Rhône et Vaucluse. Les différents aménagements hydroélectriques (comme l’immense barrage de Serre-Ponçon) ont considérablement réduit son débit et son milieu naturel. Le défi aujourd’hui est de concilier la production d’électricité par une énergie renouvelable et la protection des écosystèmes du cours d’eau.
Plaine de Villelaure - ©Stéphane Legal - PNR Luberon Produits du terroirLa plaine agricole de Villelaure
La plaine constitue plus de la moitié la superficie de la commune (1 275 ha) longtemps délaissée par peur des crues. Au XVIIIe s. elle fut conquise sur la rivière grâce à la construction de digues pour contrôler la Durance. Une agriculture maraîchère et fruitière s’y est développée. 600 km de canaux permet à chaque parcelle d’être irriguée et drainée. Un moulin, une fabrique (raffinerie de betterave), une usine électrique témoignent aussi de l’utilisation passée de la force motrice de l’eau.
Fontaine-Haute de Cadenet - ©Tony Guarente - Cèdres Eaux et rivièresFontaine, je ne boirais pas de ton eau !
L'on raconte que la Haute-Fontaine située à l'angle de la rue Kleber à droite, fut construite en 1545, peu après la Fontaine Basse (1535) située av. Gambetta. À l’époque, on ne trouvait aucune fontaine dans l’enceinte des remparts et l'alimentation en eau se faisait à l'aide de puits et de citernes. Se présentant sous la forme d’un buffet d’eau, cette petite fontaine est ornée de deux masques de fonte. Malheureusement, son eau qui traversait l’ancien cimetière, a généré de nombreux cas de typhoïde et causa plusieurs décès. Elle fut définitivement fermée dans les années 1950, puis restaurée récemment.
Santons de Provence - ©DR Savoir-faireLes santons de Provence
Au fil des siècles, les scènes de la nativité ont été jouées par des comédiens sur les parvis des églises, puis les crèches vivantes ont fait leur apparition au Moyen-Âge. Ces figurants ont été remplacés par des personnages en bois, cire, en carton-pâte, en faïence et même en verre au XVIe s. Les santons de Provence, petites figurines en argile très colorés, sont nés à Marseille au XVIIIe s. Ils représentent des personnages aux costumes locaux. La profession de santonnier est encore présente dans de nombreux villages en Provence. À Cadenet se tient chaque année un salon des santonniers.
Illustration de la peste en Provence (1720) - ©DR Patrimoine et histoireAux grands maux les mauvais remèdes
Le 25 mai 1720 un vaisseau, le Grand Saint Antoine accoste à Marseille apportant dans sa cargaison, la Grande Peste. Celle-ci se propage rapidement dans toute la Provence, y compris à Lourmarin, touché une nouvelle fois après l’épidémie de 1348. Devant l’hécatombe et le désarroi des populations, de curieux remèdes sont proposés : un médecin du village préconise des soins… avec de l’urine humaine. Un autre vante les vertus du sang de chat, mais il tombe aussi frappé par le mal et son « remède » disparait avec lui.
René Char (à gauche) et Albert Camus (à droite) - ©DR Patrimoine et histoireSur les pas d'Albert Camus
Son amitié avec René Char établi à L'Isle sur la Sorgue, la lumière et les couleurs qui lui rappelaient son Algérie natale, avaient présidé à sa décision de s'établir à Lourmarin qu'il avait choisi comme refuge et lieu de création. Une promenade littéraire à travers le village lui rend hommage, conjuguant plaisir du texte et du paysage, chaque halte étant choisie pour sa signification dans la vie ou dans l'œuvre de l'écrivain. Ici se faufile la rue Camus qui mène à une ancienne magnanerie (privé, ne se visite pas) où s'installèrent en 1958, Albert Camus, Francine son épouse ainsi que leurs deux enfants.
Bastide des Lointes - ©Françoise Delville - PNR Luberon Patrimoine et histoireLourmarin, village vaudois
Suite aux nombreuses crises que connaît la région (guerres, pestes, famines…) à la fin du Moyen-Âge, le village est alors quasiment déserté. Afin d’assurer son repeuplement, le Seigneur fait venir des colons vaudois (communauté issue de la Réforme) des Alpes. Le territoire connaît alors une véritable Renaissance bientôt freinée par les persécutions des guerres de religion du XVIe et jusqu’à la fin du XVIIe s.
Fontaine aux trois masques - ©Destination Luberon Eaux et rivièresLa fontaine aux trois masques
Cette fontaine relativement récente fut offerte au village en 1937 par la Fondation Laurent-Vibert qui oeuvra à la restauration du château de Lourmarin. D’aucun diront que ces têtes représentent les éléments naturels importants de la région : Rhône, Durance, Luberon. D’autres prétendront qu’elles évoquent trois divinités grecques Neptune, Apollon et Pan, dieu des troupeaux et des bergers. Le fait est qu’aucun écrit ne corrobore ni l’une ni l’autre de ces affirmations.
Temple protestant de Lourmarin - ©Eric Garnier - PNR Luberon Patrimoine et histoireTemple protestant de Lourmarin
Le temple est construit, à partir du 17 avril 1861, sur les plans de Michel-Robert Penchaud, datant de 1852. Il est de forme rectangulaire, sur une base de 12 m de long, sur 6 m de large. La chaire, tribune élevée où prend place le prédicateur, est située dans l'abside de l'édifice (demi-cercle derrière le chœur) et est accessible par un escalier à double volée de marches (les deux accès permet à des usagers de ne pas se croiser). La commune de Lourmarin finance les travaux sur le bâti et celle de Puyvert finance le mobilier. Il est inauguré en 1818, après douze ans de travaux.
Robert Laurent-Vibert (1884-1925) - ©DR Patrimoine et histoireRobert Laurent-Vibert
Industriel lyonnais, propriétaire des Pétroles Hahn, mais aussi grand érudit, normalien, agrégé d’histoire et membre de l’Ecole française de Rome, entreprit la restauration du Château à partir de 1920. Mais il disparut tragiquement en 1925 dans un accident de voiture. Par un testament établi en 1923, il avait légué le Château à l’Académie des Sciences, Agriculture, Arts et Belles Lettres d’Aix-en-Provence, à charge pour elle d’instaurer une Fondation portant son nom. Ainsi fut créée la Fondation de Lourmarin Robert Laurent-Vibert, reconnue d’utilité publique dès 1927. Le Château, classé monument historique en 1973, est ouvert toute l’année aux visiteurs et propose aussi de nombreuses animations.
Château de Lourmarin au début du XXe s. - ©DR Patrimoine et histoireLe château de Lourmarin, une destruction annoncée
Passant, après la révolution française de 1789, entre les mains de divers intendants qui ne qui ne gèrent que les terres, le château perd de sa superbe. À la fin du XIXe s., le Château-Vieux n’est que ruines et l’aile Renaissance, transformée en grange devient le refuge de vagabons. En 1920, le Château allait être vendu aux enchères pour servir de carrière de pierres quand il fut providentiellement découvert par un mécène, Robert Laurent-Vibert, qui entreprit de le restaurer.
Château de Lourmarin - ©Tony Guarente - Cèdres Patrimoine et histoireLe château de Lourmarin à la belle époque
Le corps le plus ancien du Château a été construit au XVe s. sur les ruines d’une forteresse du XIIe s. par Foulques d’Agoult, seigneur de Sault et de Reillanne. À partir de 1526, Louis d’Agoult-Montauban et son épouse, Blanche de Lévis-Ventadour, firent élever l’aile Renaissance d’une remarquable unité de style. À la fin du XVIe siècle, l’édifice devient la propriété des Créqui-Lesdiguières, demeurant au Château de La Tour d’Aigues.
Village et château de Lourmarin - ©Eric Garnier - PNR Luberon Patrimoine et histoireLourmarin, village perché...
Comme beaucoup de village du Nord et du Sud Luberon, Lourmarin s’est développé de manière concentrique dès le XIe s. et jusqu’au XVIe s. autour d’un château édifié sur un petit mamelon et de son église. Aujourd’hui disparu, le château originel a été remplacé par un beffroi au XVIIe s. alors que le Seigneur des lieux construisit dès la fin du XVe s. une demeure Renaissance plus confortable à l’extérieur du village.
Vins du sud Luberon - ©Eric Garnier - PNR Luberon Produits du terroirLes vins du Luberon
La vigne occupe une place importante dans le Luberon avec ses 3 AOP : Luberon, Ventoux et Pierrevert. L’AOP Luberon est entièrement sur le territoire du Parc et couvre près de 3 000 ha. En rouge, blanc et rosé, il en existe pour tous les goûts ! Grâce aux nuits plus fraîches en été, les vins du Luberon sont équilibrés et élégants. Les cépages du cru : syrah, grenache pour les rouges et rosés, vermentino et grenache blanc pour les blancs. RDV dans les nombreux caveaux viticoles.
Vue est-ouest sur Cucuron - ©Eric Garnier - PNR Luberon Patrimoine et histoireCucuron, village perché
Comme la plupart des villages perchés du Luberon, Cucuron s’est développé au XIe s. autour de son château, ici sur la bute à l’ouest dont il ne reste aujourd’hui que les vestiges du donjon. Dès le XIIIe s. une nouvelle église est construite à l’est et le village s’agrandit alors vers elle. Témoignage de ces agrandissements, trois enceintes se succédent au fil des siècles. De la dernière du XVIe s., on distingue encore une tour et deux portes par lesquelles on rentre dans le vieux village.
Un perchoir de la LPO - ©PNR Luberon FauneDes nichoirs pour Chouette d'Athéna
Le nombre de cavités diminuant, l’installation de nichoirs pour oiseaux permet d’augmenter les zones de nidification. La forme et les dimensions du nichoir et du trou d’envol permettent de sélectionner les espèces souhaitées ! En Luberon plus de 200 nichoirs ont été installés pour la Chouette chevêche ou Chouette d'Athéna (Athene noctua). Ils permettent l’étude et le suivi des principaux paramètres de sa reproduction. Depuis leur installation, dès 2005, le nombre de couples de Chevêches s’y reproduisant est en constante augmentation.
Le beffroi de Cucuron - ©Jérémie Haye - PNR Luberon Patrimoine et histoireLe beffroi de Cucuron
Au bout de la rue, datant du XVIe s. et construit sur une ancienne porte ayant perdu tout caractère défensif au regard de l’agrandissement de l’enceinte du village, l’édification du beffroi témoigne de la vigueur de la vie communautaire à cette époque à Cucuron. L’ancienne porte fut rehaussée et couronnée d’un campanile en pierre. Le beffroi devient alors le symbole du pouvoir civil grandissant face aux symboles des pouvoirs féodaux et religieux que sont le château et l’église.
Bassin de l'Etang de Cucuron - ©Eric Garnier - PNR Luberon Patrimoine et histoireLe bassin de l'étang à Cucuron
Cette pièce d’eau artificielle, située à l’extérieur du village médiéval existait dès le XVe s. pour alimenter des moulins à farine. Elle fut réduite aux dimensions actuelles au XIXe s. suite à la disparition des moulins. Aménagé en bassin d’agrément, complanté par ces allées de platanes et recevant aujourd'hui les terrasses des cafés-restaurants, ce site offre une atmosphère singulière et une ombre tant recherchée en Provence l’été.
Portail de l'Etang - ©Eléa de Robert - PNR Luberon Patrimoine et histoireLe Portail de l'Etang
Aussi appelé « Portail de Cabrières » et autrefois « Porte de la Burlière » (nom du quartier voisin, qui évoque en provençal le lieu où l’on s’adonne au jeu de boules), c’est l’une des portes restantes de la fortification du XVIe s.. On peut encore y appercevoir les emplacements des chaînes du pont-levis. L’enceinte fortifiée comprenait quatre portes et six tours et assurait la défense de l’agglomération. L’ouvrage de 600 m de longueur et de 9 m de hauteur, était couronné d’un chemin de ronde et de plusieurs bretèches, doublé à l’extérieur d’un fossé sec.
Petite dégustation ! - ©Eric Garnier - PNR Luberon Produits du terroirCave coopérative Louérion
En 1925, les viticulteurs du territoire se regroupent en coopérative afin de mutualiser leurs moyens de production. Après plusieurs fusions, les caves de Lourmarin, Cadenet, Lauris et Cucuron s’unissent en 2009 pour former Louérion – nom que les Romains donnaient autrefois au Luberon. Aujourd’hui, la coopérative Louérion s’étend sur 950 ha de vignobles répartis sur 15 communes du Luberon. Elle regroupe 150 coopérateurs et produit environ 47 000 hL de vin sous différentes appellations. Certains vins sont élaborés selon le cahier des charges du système qualité “Agriconfiance”.
Huile d'olive - ©DR Produits du terroirL'huile d'olive, symbole méditerranéen
Importé en Provence par les Phocéens, fondateurs de Marseille vers 600 av. J.-C., l’olivier s’est largement répandu durant l’époque romaine dans le sud de la France. La récolte des olives s’effectue d’octobre à février. Selon la variété, il faut entre 5 et 7 kg d’olives pour obtenir un litre d’huile. Symbole du régime méditerranéen, l’huile d’olive entre dans la composition de nombreux plats typiques, comme la tapenade. En Luberon, plusieurs moulins vous invitent à découvrir leurs huiles, chacune avec sa propre personnalité.
Description
Dos à la gare de Pertuis, filer à droite rue Albert Delsome. En bout de ligne droite, tourner à gauche et remonter la VC de Saint-Roc en direction du centre ancien de Pertuis. Au stop, virer à gauche bd. Ledru Rollin. Au feu, continuer en face bd. JP Pécout. Poursuivre tout droit bd Victor Hugo. Au rond-point, descendre à gauche bd Jules Ferry. Après le pont, tourner à gauche sur la VC15 de l’Eze, et suivre vers l’ouest le balisage de l’itinéraire vélo "Le pays d’Aigues à vélo" jusqu’à Villelaure.
1- À hauteur de la mairie de Villelaure, continuer l’av. Jean Moulin vers le centre du village. Virer à gauche rue Forbin de Janson (D973). 200 m plus loin, poursuivre vers la gauche, puis 200 m après, bifurquer encore à gauche Chemin des Curates. Un peu plus bas, tourner à droite Chemin de Versailles. Au rond-point, prendre en face et rejoindre Cadenet en suivant les indications "Pays d’Aigues à vélo" (circuit n°14).
2- De l’office de tourisme de Cadenet, place du Tambour d’Arcole, avancer à droite Cours Voltaire, passer devant la mairie puis l’église et continuer 2,8 km en direction de Vaugines / Cucuron (D45).
3- Au stop, bifurquer à gauche (D135), puis à droite pour rejoindre le village de Lourmarin (D943). Faire le tour du 1er rond-point, puis traverser le centre du village par la rue Henri de Savornin, la place de l'Ormeau et l'av. Philippe de Girard.
4- Virer à gauche sur l'av. Raoul Dautry, passer devant le Château et poursuivre par l'av. Laurent Vibert. Au stop, emprunter à gauche la D27 et revenir au rond-point situé à l'entrée du village de Lourmarin. De là, revenir au point 3 par l'itinéraire emprunté à l'aller.
3- De retour au carrefour du point 3, virer à gauche (D45). Au stop suivant, continuer tout droit vers Vaugines. Ne pas manquer à droite le chemin des Garrigues. 800 m plus loin, virer à droite puis à gauche. Au stop, tourner à gauche (D27) et gagner la place de l’Etang à Cucuron.
5- Avancer tout droit jusqu’à l’office de tourisme, prendre à droite (D56). Au stop, virer à gauche (D27), puis à droite direction Ansouis. 250 m plus loin, emprunter à droite le chemin de l’Agrie et poursuivre. Au stop, déboucher sur la D37, virer à gauche et atteindre la Place de la Vieille Fontaine, située au pied nord du village d'Ansouis.
- Départ : Gare sncf, au sud du centre ancien de Pertuis
- Arrivée : Place de la Vieille Fontaine, située au pied nord d'Ansouis
- Communes traversées : Pertuis, Villelaure, Cadenet, Vaugines, Lourmarin, Cucuron et Ansouis
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Cet itinéraire emprunte des voies ouvertes à la circulation publique ; en toutes circonstances, il est donc impératif de rester prudent et de respecter le code de la route.
- À vélo, le port du casque est obligatoire pou rles moins de 12 ans et fortement recommandé pour les plus grands et les adultes !
- Même lorsque la visibilité est bonne, je porte des vêtements de couleurs vives, bien voyants ou rétroréfléchissants.
Lieux de renseignement
OTI Luberon Sud Tourisme
Le Château - BP 16, 84240 La Tour d'Aigues
Horaires d’ouverture :
AVRIL / MAI / JUIN ET SEPTEMBRE
Du mardi au samedi : de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30.
EN JUILLET ET AOÛT
Lundi : 15h – 18h.
Du mardi au samedi : 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Dimanche : de 9h45 à 12h45 (du 09/07 au 20/08).
JOURS FÉRIÉS
18 mai (Ascension) : de 9h30 à 12h30.
14 juillet : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
15 août : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Accès
- Numéro de secours :
- 114
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Source

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La Miellerie du Grand Luberon
Pour la retrouver, prenez la RD 27 entre Lourmarin et Cucuron. La Miellerie se trouve à environ 1 km du village de Cucuron sur la droite.
Sur le GPS rentrez miellerie du Gand Luberon
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